Él se niega a hacerlo, lo ve tristem preocupado, enajenado, se torna furiosa y amanezadora, pues cree que en esos momentos hay una amante, una mujer puro ojos, boca, fuego, en la mente de su marido, su ayudante, claro, esa arrastrada, esa putana morena y espléndida de las grandes tandas en la sala de la pequeña opera.
Traduction temporaire :
Il se refuse à le faire. Remarquant qu'il est triste, inquiet et comme aliéné, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Remarquant qu'il est triste, inquiet et comme aliéné, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
24 commentaires:
Il se refuse à le faire, elle le voit tristement inquiet, aliéné, elle devient furieuse et menaçante, car elle croit, à cet instant précis, qu’il y a une maîtresse, une femme aux purs yeux, bouche, feu, dans l’esprit de son mari, son assistante, c’est sûr, cette coquine, cette putain de brune splendide des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire, elle le voit tristement inquiet [es-tu certaine qu'on dirait naturellement cela en français… Je lis et relis, sans arriver à être convaincue ; une journée longue et fatigante, peut-être… Alors dis-moi], aliéné [Là, pour le coup, sûre que ça ne va pas avec « elle le voit » ; c'est un hispanisme], elle devient furieuse et menaçante [avec le verbe, ce sera mieux], car elle croit, à cet instant précis, qu’il y a une maîtresse, une femme aux purs yeux [charabia], bouche, feu [idem… Ici, besoin de chevilles], dans l’esprit de son mari [avance-le], [ponctuation à changer] son assistante, c’est sûr, cette coquine [maladroit], cette putain de [CS] brune splendide des grands spectacles dans la salle du petit opéra [peu naturel].
Il se refuse à le faire, elle voit qu’il est triste, inquiet, égaré, elle devient furieuse et le menace car elle croit, à cet instant précis, qu’il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme avec des yeux et une bouche magnifiques, qu’il est enflammé ; son assistante, c’est sûr, cette coquine, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire, elle voit [passe par « le voyant » ]qu’il est triste, inquiet, égaré [mal dit], elle devient furieuse et le menace [point] car elle croit [« en effet »], à cet instant précis [CS], qu’il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme avec des yeux et une bouche magnifiques, qu’il est enflammé [CS… Reviens à la V.O. et essaie de comprendre la « création » de ce « puro »…] ; son assistante, c’est sûr, cette coquine [mal dit / FS ?], cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et égaré, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme avec des yeux, une bouche et un feu ardents ; son assistante, c’est sûr, cette pauvre fille, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et égaré, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme [« tout en »] avec des yeux, une bouche et un feu ardents ; son assistante, c’est sûr, cette pauvre fille [« roulure » ? Regarde…], cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et égaré, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, bouche, feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et égaré [pas sûre que ce soit le bon sens… ], elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, bouche, feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et perdu dans ses pensées, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, bouche, feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et perdu dans ses pensées [non, c'est plus « sérieux » que ça ; regarde les défs dans le dico unilingue], elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Enajenado
1. adj. Dicho de una persona: Que ha perdido la razón de una manera permanente o transitoria. U. t. c. s.
J'avais donc pensé à "égaré" dans un premier temps, j'ai aussi pensé à "hagard", mais je trouve que ça ne colle pas trop ici. Je tente avec "désorienté" :
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et désorienté, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et désorienté [c'est un peu plus fort que cela], elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et désaxé, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et désaxé [l'idée, c'est qu'il est aliéné… dans le sens pas maître de lui], elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
J'ai bien compris l'idée, oui... Je creuse avec "incontrôlable", sans grande conviction, je trouve qu'on perd l'idée de folie, mais est-ce que je dois creuser dans ce sens-là ?
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et incontrôlable, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
C'est vraiment un synonyme d' « aliéné » qu'il te faut.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et dément, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Le voyant triste, inquiet et dément [trop fort… Pourquoi pas simplement « aliéné », au fait ? ;-)], elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
"aliéné" était ma première proposition... Cf 2 ème commentaire :
aliéné [Là, pour le coup, sûre que ça ne va pas avec « elle le voit » ; c'est un hispanisme]
Oui… en effet ; d'où la nécessité soit de changer « voir », soit de décomposer – comme on a fait pour le texte de Camilo José Cela.
Il se refuse à le faire. Remarquant qu'il est triste, inquiet et aliéné, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Remarquant qu'il est triste, inquiet et [j'ajouterais la cheville « comme » ; qu'en penses-tu ?] aliéné, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Oui, c'est mieux avec "comme" :
Il se refuse à le faire. Remarquant qu'il est triste, inquiet et comme aliéné, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
Il se refuse à le faire. Remarquant qu'il est triste, inquiet et comme aliéné, elle devient furieuse et le menace. Elle croit en effet qu’en ce moment, il y a une maîtresse dans l’esprit de son mari, une femme tout en yeux, en bouche, en feu ; son assistante, c’est sûr, cette roulure, cette salope brune et splendide chargée des grands spectacles dans la salle du petit opéra.
OK…………… OUF !
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