samedi 1 décembre 2012

Projet Nancy – phrase 15

Pero la verdad era que ni regalada aceptaban un poco de su pólvora y, sin embargo, no se atrevían a recharzarlo violentamente, a darle un portazo, a echarle los perros.

Traduction temporaire :
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.

9 commentaires:

Nancy a dit…

Pero la verdad era que ni regalada aceptaban un poco de su pólvora y,
sin embargo, no se atrevían a recharzarlo violentamente,
a darle un portazo, a echarle los perros.

Mais en réalité, personne n'acceptait un peu de sa poudre, même offerte ;
cependant, on n'osait pas le rejeter violemment, lui claquer la porte au nez, le gronder.

Tradabordo a dit…

Mais en réalité, personne n'acceptait un peu de sa poudre, même offerte [le sens y est… mais ça n'est guère naturel] ;
cependant [« pour autant »], on n'osait pas le rejeter [ou « repousser » ? Je te laisse trancher] violemment, lui claquer la porte au nez, le gronder [FS ?].

Nancy a dit…

Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait la moindre quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le blâmer.

Tradabordo a dit…

Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait [cheville : « de lui » ? Je te laisse trancher] la moindre quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le blâmer [FS].

Nancy a dit…

Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la moindre quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.

Tradabordo a dit…

Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la moindre [« un poco » / « plus petite » ?] quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.

Nancy a dit…

Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.

Nancy a dit…

Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.

Tradabordo a dit…

Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.

OK.