Pero la verdad era que ni regalada aceptaban un poco de su pólvora y, sin embargo, no se atrevían a recharzarlo violentamente, a darle un portazo, a echarle los perros.
Traduction temporaire :
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.
9 commentaires:
Pero la verdad era que ni regalada aceptaban un poco de su pólvora y,
sin embargo, no se atrevían a recharzarlo violentamente,
a darle un portazo, a echarle los perros.
Mais en réalité, personne n'acceptait un peu de sa poudre, même offerte ;
cependant, on n'osait pas le rejeter violemment, lui claquer la porte au nez, le gronder.
Mais en réalité, personne n'acceptait un peu de sa poudre, même offerte [le sens y est… mais ça n'est guère naturel] ;
cependant [« pour autant »], on n'osait pas le rejeter [ou « repousser » ? Je te laisse trancher] violemment, lui claquer la porte au nez, le gronder [FS ?].
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait la moindre quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le blâmer.
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait [cheville : « de lui » ? Je te laisse trancher] la moindre quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le blâmer [FS].
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la moindre quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la moindre [« un poco » / « plus petite » ?] quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.
Mais en réalité, même s'il l'offrait, personne n'acceptait de lui la plus petite quantité de poudre ; pour autant, on n'osait pas le repousser violemment, lui claquer la porte au nez, le chasser.
OK.
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