Así sucede cuando no traes lana, pasas por los escaparates de las tiendas y nomás te sobas las bolsas de los pantalones; nomás sientes cómo te faltan los billetes, cómo te guiñan el ojo los vestidos y las alhajas y los perfumes franceses, y tú, paradota allí, como idiota, como decía el chinito: "nomás milando".
Traduction temporaire :
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; on sent juste comment on est en galère sans billets, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font de l'œil, tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « rien que legaldé ».
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; on sent juste comment on est en galère sans billets, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font de l'œil, tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « rien que legaldé ».
12 commentaires:
C’est exactement ça qui arrive quand vous n’avez pas de fric, vous passez devant les vitrines des magasins et vous ne faites que tripoter les poches de votre pantalon ; simplement, vous sentez comment les billets vous manquent, comment les robes, les bijoux et les parfums français vous font des clins d’œil, et vous, debout là, comme une idiote, comme disait le petit chinois : « je ne fais que legaldé ».
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J'ai beaucoup hésité avant de décider de rendre le tutoiement qu'emploie la narratrice dans la V.O. par un vouvoiement. Ai-je eu tord ??? :)
C’est exactement ça qui arrive quand vous [ON… Vas-y, fais le changement pour que je regarde la phrase vraiment…] n’avez [ là, c'est « avoir » ou « gagner » ?] pas de fric, vous passez devant les vitrines des magasins et vous ne faites que tripoter les poches de votre pantalon ; simplement, vous sentez comment les billets vous manquent, comment les robes, les bijoux et les parfums français vous font des clins d’œil, et vous, debout là, comme une idiote, comme disait le petit chinois : « je ne fais que legaldé ».
C’est exactement ça qui arrive quand on n’a pas de fric, on passe devant les vitrines des magasins et on ne fait que tripoter les poches de notre pantalon ; simplement, on sent comment les billets nous manquent, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins d’œil, et nous, on est debout là, comme des idiotes, comme disait le petit chinois : « je ne fais que legaldé ».
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Je pense que c'est bien "avoir de l'argent".
C’est exactement ça [« ce »] qui arrive quand on n’a pas de fric, [deux points ?] on passe devant les vitrines des magasins et on ne fait [« doit se contenter de » ?] que tripoter les poches de notre [NON, du coup] pantalon ; simplement, on sent comment les billets nous manquent [peu clair], comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins d’œil [« de l'oeil »], et nous, on est debout [virgule] là, comme des idiotes, comme disait le petit chinois [majuscule] : « je ne [supprime] fais que legaldé ».
C’est exactement ce qui arrive quand on n’a pas de fric : on passe devant les vitrines des magasins et on doit se contenter de tripoter les poches du pantalon ; simplement, on sent comment les billets nous font défaut, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins de l'oeil, et nous, on est debout, là, comme des idiotes, comme disait le petit Chinois : « fais que legaldé ».
C’est exactement ce qui arrive quand on n’a pas de fric : [« quand » ?]on passe devant les vitrines des magasins et [du coup, si tu optes pour « quand », il faudra supprimer « et »] on doit se contenter de tripoter les poches du [«de son » ]pantalon ; simplement [pas adapté], on sent comment les billets nous font défaut [un truc plus simple ?], comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins de l'oeil, et [« tandis que » ?] nous, on est debout, là, comme des idiotes, comme [embêtant de passer par « comme »… parce que ça met les deux petits morceaux de phrases sur un même plan alors que ça n'est pas le cas] disait le petit Chinois : « fais que legaldé ».
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; seulement, on sent comment les billets nous font défaut, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins de l'oeil, tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « fais que legaldé ».
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Je ne vois pas comment simplifier "les billets nous font défaut"...
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; seulement [ça ne va pas du tout !], on sent comment les billets nous font défaut [tu ne trouves pas de synonymes dans un dico spécialisé], comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins de l'oeil, tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « fais que legaldé ».
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; on sent juste comment on est en galère de billets, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins de l'oeil, tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « fais que legaldé ».
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; on sent juste comment on est en galère de [pas mal… mais alors avec « sans »] billets, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font des clins de l'oeil [ou « de l'œil » tout court ?], tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « fais que [ou « rien que » ? Je te laisse trancher] legaldé ».
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; on sent juste comment on est en galère sans billets, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font de l'œil, tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « rien que legaldé ».
Je viens de me rendre compte que certains de tes commentaires passent en spam… Quand tu vois que je ne réponds pas alors que je travaille avec d'autres, n'hésite pas à me solliciter, y compris par mail…
C’est exactement ce qui arrive lorsqu'on n’a pas de fric : quand on passe devant les vitrines des magasins, on doit se contenter de tripoter les poches de son pantalon ; on sent juste comment on est en galère sans billets, comment les robes, les bijoux et les parfums français nous font de l'œil, tandis que nous, on est debout, là, comme des idiotes, répétant ce que disait le petit Chinois : « rien que legaldé ».
OK.
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