A veces se dirige a la camarera, que circula de un lado a otro de la barra con abulia mal disimulada, a veces parece interesarse por la televisión que domina el espacio, otras escucha la conversación de los clientes que ocupan la barra codo con codo, alineados, los perfiles en perfecta línea oblicua.
Traduction temporaire :
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une aboulie mal dissimulée. Parfois, il semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, il écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une aboulie mal dissimulée. Parfois, il semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, il écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
8 commentaires:
Parfois, il s'adresse à la serveuse qui passe d'un côté à l'autre du comptoir avec une veulerie mal dissimulée, parfois, il semble s'intéresser à la télévision qui domine l'espace, ou alors, il écoute les conversation des clients qui occupent le comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils en parfaite ligne oblique.
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une veulerie [FS] mal dissimulée, [ponctuation ?] parfois, il [CS ?] semble s'intéresser à la télévision qui domine [dans le sens de « surplomber » ?] l'espace, ou alors, il [CS ? Lui ou la serveuse ?] écoute les conversation des clients qui occupent [avec « installés » ?] le comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils en parfaite [« composant une » ?] ligne oblique.
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une fatigue mal dissimulée. Parfois, elle semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, elle écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une fatigue [sûre ?] mal dissimulée. Parfois, elle semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, elle écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
Demande quand même à Elena pour cette histoire de « il » ou « elle »…
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une paresse mal dissimulée. Parfois, il semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, il écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
Elena pense que c'est l'homme.
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une paresse [littéral ? Le terme n'existe pas en français ?] mal dissimulée. Parfois, il semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, il écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une aboulie mal dissimulée. Parfois, il semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, il écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
Parfois, il s'adresse à la serveuse, qui passe d'un côté à l'autre du comptoir, avec une aboulie mal dissimulée. Parfois, il semble s'intéresser à la télévision qui surplombe l'espace, ou alors, il écoute les conversations des clients installés au comptoir, coude à coude, alignés, leurs profils composant une parfaite ligne oblique.
OK.
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