vendredi 28 mars 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrases 57-58

Nunca como entonces las porteñas supimos lo que significó vivir solas sin otros ojos que los del espejo, vestidas para nadie. Desde el Año de la Gran Debacle somos celadoras de nuestro propio encierro, fruto maduro condenado a consumirse en la rama y no en los labios.

Traduction temporaire :
Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, pomponnées pour personne. Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

18 commentaires:

Sonita a dit…

Jamais auparavant les femmes de Buenos Aires avions su ce que cela signifiait de vivre seules sans autres yeux que ceux du miroir, habillées pour personne. Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

Tradabordo a dit…

Jamais auparavant [« como entonces » ?] les femmes de Buenos Aires avions su ce que cela signifiait de vivre seules sans autres yeux que ceux du miroir, habillées pour personne. Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

Sonita a dit…

Jamais comme à ce moment-là les femmes de Buenos Aires avions su ce que cela signifiait de vivre seules sans autres yeux que ceux du miroir, habillées pour personne. Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

Tradabordo a dit…

Jamais comme à ce moment-là les femmes de Buenos Aires avions su ce que cela signifiait de vivre seules sans autres yeux que ceux du miroir, habillées pour personne.

En fait, je crois que c'est surtout la syntaxe qui ne va pas. Peut-être qu'on pourra le caser quand même ton « auparavant », mais la phrase doit être remise en chantier…

Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

Sonita a dit…

Les femmes de Buenos Aires n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules sans autres yeux que ceux du miroir, habillées pour personne.

Tradabordo a dit…

[cheville : « Nous, »] Les femmes de Buenos Aires [cheville : « , nous » ?] n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules [virgule] sans autres yeux que ceux du [cheville explicative nécessaire, non ?] miroir, habillées pour personne.

Tradabordo a dit…

[cheville : « Nous, »] Les femmes de Buenos Aires [cheville : « , nous » ?] n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules [virgule] sans autres yeux que ceux du [cheville explicative nécessaire, non ?] miroir, habillées pour personne.

Sonita a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres yeux que ceux que nous renvoit le miroir, habillées pour personne.

Sonita a dit…

Peut-être ce sera mieux si on remplace " yeux" par "regards" ?


Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoit le miroir, habillées pour personne.

Tradabordo a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoit [grammaire] le miroir, habillées pour personne.

Sonita a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoient le miroir, habillées pour personne.

Sonita a dit…

Oui, je peux bien me taper sur les doigts ! Quand la conjugaison nous tient !
Je corrige donc :

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, habillées pour personne.

Tradabordo a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, habillées pour personne.

OK. Tu peux ajouter la suite.

Sonita a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, habillées pour personne. Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

Tradabordo a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, habillées [ou dans le sens de « pomponnées » ? Je ne sais pas…] pour personne. Depuis l'An [ou « Année » ?] de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

Sonita a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, pomponnées pour personne. Depuis l'An [ou « Année » ? - auparavant, on a mis "An"] de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

Tradabordo a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, pomponnées pour personne. Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

OK.

Céline ?

Unknown a dit…

Nous, les femmes de Buenos Aires, nous n'avions jamais su auparavant ce que cela signifiait de vivre seules, sans autres regards que ceux que nous renvoie le miroir, pomponnées pour personne. Depuis l'An de la Grande Débâcle, nous sommes les gardiennes de notre propre réclusion, fruit mûr condamné à se consumer sur la branche et non pas sur les lèvres.

OK.