vendredi 21 mars 2014

Projet Morgane 11 – phrases 11-12

Para ambos, la rutina de aquel año consistió en hacerme feliz. Entre que ella se afanaba en amasar la pasta de cada día detrás de su sonrisa buena, el Nonno y yo deambulábamos por las calles de Salerno, los pasajes  laberínticos de la zona vieja, el puerto, con sus barquichuelos meneándose al compás del viento y, más lejos, los buques de alta mar.

Traduction temporaire :
Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Chaque jour, pendant qu'elle, derrière son joli sourire, elle s'efforçait d'amasser le fric, Luigi Nono et moi, nous déambulions dans les rues de Salerne, dans les passages labyrinthiques de la zone la plus ancienne de la ville, dans le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires de haute-mer, plus loin.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista en me rendre heureuse. Pendant qu'elle s'efforçait, le sourire aux lèvres, d'amasser le fric chaque jour, Luigi Nono et moi déambulions dans les rues de Salerno, dans les passages labyrinthiques de la zone déserte, sur le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer.

Tradabordo a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista en [?] me rendre heureuse. Pendant qu'elle s'efforçait, le sourire aux lèvres [pas ce que dit la V.O.], d'amasser le fric chaque jour, Luigi Nono et moi déambulions dans les rues de Salerno, dans les passages labyrinthiques de la zone déserte, sur le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer.

Unknown a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Pendant qu'elle s'efforçait d'amasser le fric chaque jour avec son joli sourire, Luigi Nono et moi déambulions dans les rues de Salerno, dans les passages labyrinthiques de la zone déserte, sur le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer.

Tradabordo a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Pendant qu'elle s'efforçait d'amasser le fric chaque jour avec son joli sourire [maintenant, tu peux faire des petits aménagements de syntaxe], Luigi Nono et moi déambulions dans les rues de Salerno, dans les passages labyrinthiques de la zone déserte, sur le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer.

Unknown a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Pendant qu'elle s'efforçait, avec son joli sourire, d'amasser le fric chaque jour, Luigi Nono et moi déambulions dans les rues de Salerno, dans les passages labyrinthiques de la zone déserte, sur le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer.

Tradabordo a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Pendant qu'elle [cheville : « , elle » ?] s'efforçait, avec [on ne rend pas du tout le « detrás » ?] son joli sourire, d'amasser le fric chaque jour [mets-le au tout début], Luigi Nono et moi déambulions dans les rues de Salerno, dans les passages labyrinthiques de la zone déserte, sur le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer.

Unknown a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Chaque jour, pendant qu'elle, elle s'efforçait, derrière son joli sourire, d'amasser le fric, Luigi Nono et moi déambulions dans les rues de Salerno, dans les passages labyrinthiques de la zone déserte, sur le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer.

Tradabordo a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Chaque jour, pendant qu'elle, elle s'efforçait, derrière son joli sourire [avance-le ; après « qu'elle »], d'amasser le fric, Luigi Nono et moi [cheville : « , nous »] déambulions dans les rues de Salerno [?], dans les passages labyrinthiques de la zone déserte [?], sur [?] le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires, plus loin, en haute-mer [pourquoi tu as changé la fin ?].

Unknown a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Chaque jour, pendant qu'elle, derrière son joli sourire, elle s'efforçait d'amasser le fric, Luigi Nono et moi, nous déambulions dans les rues de Salerne, dans les passages labyrinthiques de la zone la plus ancienne de la ville, dans le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires de haute-mer, plus loin.

Tradabordo a dit…

Pour eux deux, la routine de cette année-là consista à me rendre heureuse. Chaque jour, pendant qu'elle, derrière son joli sourire, elle s'efforçait d'amasser le fric, Luigi Nono et moi, nous déambulions dans les rues de Salerne, dans les passages labyrinthiques de la zone la plus ancienne de la ville, dans le port, où les bateaux se balancent au rythme du vent, comme les navires de haute-mer, plus loin.

OK.