samedi 8 mars 2014

Projet Émeline – phrases 164

—No. Ya me pongo de pie. Sé que en unos segundos tendré suficientes fuerzas. Lo presiento. Pero necesito estar así; necesito sentir la espalda contra el suelo y escuchar cómo el hielo se derrite bajo mi abrigo.
— Rubén, por favor. Haz lo que quieras. Toma vacaciones. Regresa. Coge un avión, ve para allá y luego decides qué haces con tu vida. Pero levántate ya mismo. 
— Ten paciencia. Yo no quiero volver, yo no sé volver. Y ahora te pido sólo un minuto. Si quieres mira el reloj y lo cuentas. Es sólo un minuto.
— Me voy a marchar si no te levantas.- dijo la mujer con los puños apretados.
— Si quieres ve caminando, yo te alcanzo, lo prometo.
— Rubén, por lo que más quieras, ya el atasco llega hasta la otra manzana. Lo digo en serio. Me largo si no te pones de pie ya mismo. 
— Es muy poco tiempo, muy poco, necesito un minuto apenas.- dijo él.

Traduction temporaire :
— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurai assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Monte dans un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et là, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Rien qu'une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je m'en vais, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.

6 commentaires:

Unknown a dit…

— Non. Je suis presque debout. Je sais que dans quelques secondes j’aurais assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter comme le gel fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et ensuite décide de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Ce n’est qu’une minute.
— Je vais y aller, si tu ne te lèves pas, avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, je le promets.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te le dis sérieusement. Je pars, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.

Tradabordo a dit…

— Non. Je suis presque debout [pas ce qu'il dit]. Je sais que dans quelques secondes j’aurais assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter comme [« comment » ? ou rien du tout, d'ailleurs… Fais des essais] le gel fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Prends [tu l'as juste avant] un avion, va là-bas et ensuite [place-le après] décide de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Ce n’est [naturel ?] qu’une minute.
— Je vais y aller, si tu ne te lèves pas [naturel ? Peut-être un pb de syntaxe], [« l' »]avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, je le promets [« promis »].
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te le dis sérieusement [naturel]. Je pars, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.

Unknown a dit…

— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurais assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Pars en vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. C’est qu’une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je pars, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.

Tradabordo a dit…

— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurais [grammaire] assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Pars en vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. C’est qu’[« Rien qu'»]une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je pars [« m'en vais »], si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.

Unknown a dit…

— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurai assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Pars en vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Rien qu'une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je m'en vais, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.

Tradabordo a dit…

— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurai assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Monte dans un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et là, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Rien qu'une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je m'en vais, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.

Avec qqs modifs… OK.