samedi 8 mars 2014

Projet Émeline – phrases 165-170

Luego cerró los ojos. Los apretó muy fuerte. No pudo saber si la mujer continuaba a su lado o se marchaba. Abrió la boca con todas sus fuerzas. Sacó la lengua como si fuese un pez asustado. Quiso conocer el sabor de la nieve. Así, sin mirarlo.

Traduction temporaire :
Puis il ferma les yeux de toutes ses forces. Ainsi, il ne sut pas si sa femme était toujours à ses côtés ou si, effectivement, elle s’en allait. Il ouvrit la bouche bien grand, tira la langue comme un poisson apeuré. Il voulut connaître le goût de la neige. Comme cela, sans regarder.

7 commentaires:

Unknown a dit…

Puis il ferma les yeux. Il les plissa de toutes ses forces. Il ne put savoir si sa femme était toujours à ses côtés, ou si elle s’en allait. Il ouvrit la bouche en grand. Il sortit la langue comme un poisson apeuré. Il voulut connaître la saveur de la neige. Ainsi, sans regarder.

Tradabordo a dit…

Puis il ferma les yeux. Il les plissa [pas ce que dit la V.O.] de toutes ses forces. [cheville : « Ainsi » ?] Il ne put savoir [ou simplement : « sut pas » ?] si sa femme était toujours à ses côtés, ou si elle s’en allait. Il ouvrit la bouche en [ou « bien » ?] grand. Il sortit [mal dit] la langue comme un poisson apeuré. Il voulut connaître la saveur [naturel ?] de la neige. Ainsi [« Comme cela » ?], sans regarder.

Unknown a dit…

Puis il ferma les yeux. Il les serra de toutes ses forces. Ainsi, il ne sut pas si sa femme était toujours à ses côtés, ou si elle s’en allait. Il ouvrit la bouche bien grand. Il tira la langue comme un poisson apeuré. Il voulut connaître le goût de la neige. Comme cela, sans regarder.

Tradabordo a dit…

Je te propose :

Puis il ferma les yeux de toutes ses forces. Ainsi, il ne sut pas si sa femme était toujours à ses côtés ou si, effectivement, elle s’en allait. Il ouvrit la bouche bien grand, tira la langue comme un poisson apeuré. Il voulut connaître le goût de la neige. Comme cela, sans regarder.

OK ?

Unknown a dit…

Puis il ferma les yeux de toutes ses forces. Ainsi, il ne sut pas si sa femme était toujours à ses côtés ou si, effectivement, elle s’en allait. Il ouvrit la bouche bien grand, tira la langue comme un poisson apeuré. Il voulut connaître le goût de la neige. Comme cela, sans regarder.

OK !

Tradabordo a dit…

Parfait ! Voici venu le temps de la relecture.
Tu vas chercher ton texte dans « Travaux en cours », tu t'assures qu'il ne manque rien (tu le sais, certaines phrases ne sont pas enregistrées – à cause de petits bugs), tu corriges (pas uniquement les coquilles) à travers un travail de fond… et tu m'envoies tout ça dans un doc quand c'est terminé.

Unknown a dit…

D'accord !