Sara, decían que se llamaba Sara no contestaba. La Ester, y a veces antes la María, se quedaban mudas en la puerta del cuarto, esperando una respuesta, una palabra, un ruido en la oscuridad, entonces, gritaban escalonando el miedo, hasta quizás el mal humor, ¡Sara! ¡Sara! Sarita, ¿está despierta? Ya llegó Adolfo, oh, Sarita, ¿me oye?
Traduction temporaire :
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans l'obscurité, alors elles criaient, faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh ma petite Sara, vous m’entendez ?
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Sara, s’appelait-elle, d’après ce qu’on disait, Sara ne répondait pas. Ester et, parfois avant elle, María restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, en attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Chère Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
J'ai un doute pour la traduction du sujet de "decían". J'ai opté pour l'indéfini "on", mais dans ce contexte ne s'agirait-il pas d'Ester et María ? Votre avis ?
Audrey ?
Je pense qu'il manque une virgule dans la première phrase, mais j'ai un peu de mal à savoir où la mettre. La première me semble plus logique, mais je n'en suis pas certaine :
Sara, decían que se llamaba, Sara no contestaba.
Sara, decían que se llamaba Sara, no contestaba.
Hélène, ton avis sur cette histoire de virgule ?
Les deux sont possibles, mais s'il faut faire un choix, j'opterais pour la première proposition qui me semble la plus naturelle.
À propos du sujet de "decían". Audrey, qu'en penses-tu ?
Sara, c'était ainsi qu'on / elles l'appelait / l'appelaient, Sara ne répondait pas. Ester et, parfois avant elle, María restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, en attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Chère Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
J'attends ta réponse, Audrey… Après, mettez-moi la version que vous voulez que je regarde de près.
Sara, decían que se llamaba, Sara no contestaba.
Ok. Plus j'y pense, et plus je me dis que ça correspond au style de Droguett.
Sara, c'est ainsi qu'elle s'appelait selon elles, Sara ne répondait pas. Ester et, parfois avant elle [ça fait beaucoup de "elle(s)" je crois], María, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, en attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Chère [Ma petite ?] Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
Sara, c'est ainsi qu'elle s'appelait selon elles [vous ne pouvez pas alléger un peu ?], Sara ne répondait pas. Ester et, parfois avant elle [ça fait beaucoup de "elle(s)" je crois // alors trouvez une solution], María, restaient dans l’embrasure de la porte,
muettes, en attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Chère [Ma petite ?] Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
Sara, c'était son nom selon elles, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte,
Sara, c'est ainsi qu'elles l'appelaient, Sara ne répondait pas. Ester, et María la devançant parfois, restaient dans l’embrasure de la porte,
muettes, en attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
Sara, c'était son nom selon elles [OK mais en inversant la syntaxe… Essaie], Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle [OK], restaient dans l’embrasure de la porte,
Sara, c'est ainsi qu'elles l'appelaient, Sara ne répondait pas. Ester, et María la devançant parfois, restaient dans l’embrasure de la porte,
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte,
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte,
OK pour ce fragment. Hélène ?
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte,
ok
Mettez-moi le morceau d'après à la suite.
muettes, en attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh ma petite Sara, vous m’entendez ?
Je finis par perdre le fil…………
Collez-le à ce qu'il y avait avant, qu'on puisse suivre.
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, en attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir, alors elles criaient faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, en [nécessaire ?] attendant une réponse, un mot, un bruit dans le noir [pourquoi pas littéral ?], alors elles criaient [virgule] faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans l'obscurité, alors elles criaient, faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans l'obscurité, alors elles criaient, faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère Sara, vous m’entendez ?
OK.
Audrey ?
Ok, juste un petit truc à la fin :
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans l'obscurité, alors elles criaient, faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère [pourquoi on ne remet pas "ma petite Sara" ?] Sara, vous m’entendez ?
Hélène ?
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans l'obscurité, alors elles criaient, faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh chère [pourquoi on ne remet pas "ma petite Sara" ?] Sara, vous m’entendez ?
On peut faire varier les termes dans les dialogues. Il me semble que la phrase gagne en relief. Cela dit, je m'écarte peut-être trop de la VO ? Je me suis posé la même question le jour de l'agreg... Caroline, aurais-tu un petit conseil ?
Demandez-vous quelle est l'intention ; exemple : est-ce qu'elle l'enferme dans cette étiquette pour une raison ou une autre… et que ça devient une sorte de surnom ? Si oui, répétez. Sinon, si vous avez l'impression que c'est fortuit, changez.
Je vous laisse trancher.
D'après moi, ce diminutif sert à désigner une femme malade et donc diminuée ; en même, on sent l'affection de María et Ester lorsqu'elles la nomment ainsi (=compassion). Ce diminutif a donc un vraie fonction. Je serai donc d'avis de répéter "petite Sara". Audrey ?
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans l'obscurité, alors elles criaient, faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh ma petite Sara, vous m’entendez ?
Audrey ?
Sara, selon elles c'était son nom, Sara ne répondait pas. Ester et parfois María avant elle, restaient dans l’embrasure de la porte, muettes, attendant une réponse, un mot, un bruit dans l'obscurité, alors elles criaient, faisant monter la peur, peut-être même la mauvaise humeur. Sara ! Sara ! Ma petite Sara, vous êtes réveillée ? Adolfo est arrivé, oh ma petite Sara, vous m’entendez ?
Tout à fait d'accord.
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