Sur 11 votants nous avons obtenu 7 oui contre 4 non.
Bien, mais cela ne résout qu'une partie du problème, et pas nécessairement la plus ardue.
En américaniste invétérée, Nathalie nous propose la chose suivante : Alina Reyes
« Alina Reyes est un personnage de l’univers fictionnel de Julio CORTAZAR ; elle apparaît dans le conte « Lejana » qui se trouve dans le recueil Bestiario (1951). Dans cette histoire, il est question de double et de glissement identitaire et la figure qui illustre le mieux le thème traité est l’anagramme (qui consiste à former un autre mot à partir des lettres du mot en présence). Ainsi, Alina Reyes, « es la reina y… ».
Outre la part de rêve et de mystère que renferment le nom d’Alina Reyes et son anagramme, je trouve qu’ils traduisent parfaitement notre humble tâche de transcription : faire glisser le texte espagnol dans le cadre référentiel français en jouant avec et sur les mots, pour dire la même chose mais autrement.
Par ailleurs, le choix d’un personnage fictionnel féminin est motivé non seulement par l’orientation littéraire de notre travail de traduction mais également par la présence majoritaire d’éléments féminins dans ce groupe (pardon, Olivier).
Que pensez-vous de ma proposition ? J’attends vos réactions, nombreuses et argumentées, si possibles. »
Nathalie
Bien, mais cela ne résout qu'une partie du problème, et pas nécessairement la plus ardue.
En américaniste invétérée, Nathalie nous propose la chose suivante : Alina Reyes
« Alina Reyes est un personnage de l’univers fictionnel de Julio CORTAZAR ; elle apparaît dans le conte « Lejana » qui se trouve dans le recueil Bestiario (1951). Dans cette histoire, il est question de double et de glissement identitaire et la figure qui illustre le mieux le thème traité est l’anagramme (qui consiste à former un autre mot à partir des lettres du mot en présence). Ainsi, Alina Reyes, « es la reina y… ».
Outre la part de rêve et de mystère que renferment le nom d’Alina Reyes et son anagramme, je trouve qu’ils traduisent parfaitement notre humble tâche de transcription : faire glisser le texte espagnol dans le cadre référentiel français en jouant avec et sur les mots, pour dire la même chose mais autrement.
Par ailleurs, le choix d’un personnage fictionnel féminin est motivé non seulement par l’orientation littéraire de notre travail de traduction mais également par la présence majoritaire d’éléments féminins dans ce groupe (pardon, Olivier).
Que pensez-vous de ma proposition ? J’attends vos réactions, nombreuses et argumentées, si possibles. »
Nathalie
1 commentaire:
Tout à fait d'accord. Outre que l'américaniste invétérée que je suis également est très contente de ce choix en soi… je trouve cela doublement justifié : pour la symbolique du nom du personnage (si bien décrite par Nathalie) et, tout simplement, parce que Julio Cortázar était un traducteur… un grand traducteur de surcroît. Cela dit, donner mon avis, ne doit pas fermer le choix des apprentis…
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