Vous vous souvenez sans doute de l'apologie que nous avions faite – il y a un moment déjà – de l'art du gueuloir et du gesticuloir que se devait d'acquérir un futur traducteur pour être certain que son travail donnait correctement à entendre et à voir le texte…
Voici un petit exercice auquel nous avons soumis la pauvre Perrine (qui, vous en conviendrez, ne s'en sort pas si mal) : lecture d'un fragment de traduction de La ciudad y los perros de Vargas Llosa.
Voici un petit exercice auquel nous avons soumis la pauvre Perrine (qui, vous en conviendrez, ne s'en sort pas si mal) : lecture d'un fragment de traduction de La ciudad y los perros de Vargas Llosa.
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