mardi 4 décembre 2012

Projet Hélène / Audrey – phrases 40-41

Una vez que uno le ponía un nombre algo, ese algo era suyo para siempre, y uno se hacía responsable de él. Así pensaba Sergio.

Traduction temporaire :
Une fois que l'on donne un nom à une chose, on se l’approprie pour toujours et on en devient responsable. C'est ce que pensait Sergio.

10 commentaires:

Unknown a dit…

En donnant un nom à une chose, on s’approprie cette chose pour toujours et on en devient responsable. C’est ainsi que raisonnait Sergio.

Il manque « a » devant « algo », non ?

Tradabordo a dit…

En donnant un nom à une chose, on s’approprie cette chose pour toujours et on en devient responsable. C’est ainsi que raisonnait [C'est plutôt de l'ordre de l'avis] Sergio.

[Oui, sans doute une coquille]

Unknown a dit…

En donnant un nom à une chose, on s’approprie cette chose pour toujours et on en devient responsable. Tel était l'avis de Sergio.

J'aime bien le terme "avis".

Tradabordo a dit…

En donnant un nom à une chose, on s’approprie cette chose pour toujours et on en devient responsable. Tel était l'avis de Sergio [OK mais alors tu ne crois pas qu'il faut rendre cette petite phrase un tantinet plus naturel].

Hélène a dit…

1) Je propose de supprimer la répétition de chose.
2) J'essaie une variante pour la dernière partie.

En donnant un nom à une chose, on se l’approprie pour toujours et on en devient responsable. C'est ce que croyait Sergio

Tradabordo a dit…

En donnant un nom à une chose, on se l’approprie pour toujours et on en devient responsable. C'est ce que croyait [non… car cela suggère une distance à l'égard du personnage ; ce qui n'est pas le cas] Sergio.

Hélène a dit…

En donnant un nom à une chose, on se l’approprie pour toujours et on en devient responsable. C'est ce que pensait Sergio.

Tradabordo a dit…

En donnant [juste une question : pourquoi pas comme la V.O., c'est-à-dire avec « une fois que » ?] un nom à une chose, on se l’approprie pour toujours et on en devient responsable. C'est ce que pensait Sergio.

Hélène a dit…

Une fois que l'on donne un nom à une chose, on se l’approprie pour toujours et on en devient responsable. C'est ce que pensait Sergio.

Disons qu'au début, je me disais que cette proposition permettait d'éviter la répétition de "on". Mais au final,après réflexion, cette répétition ne me choque pas.

Tradabordo a dit…

Une fois que l'on donne un nom à une chose, on se l’approprie pour toujours et on en devient responsable. C'est ce que pensait Sergio.

OK.

Audrey ?