dimanche 9 décembre 2012

Projet Nancy – phrase 17

El silencio, era lo más terrible y lo que más le dolía; el silencio era el no ruido, lo contrario que era él, que era todo el ruido y a él lo aterrorizaba ese silencio, el silencio era la muerte y no la vida, la pólvora era la vida, toda la vida, y los hombres, acostumbrados al sosiego y la oscuridad, buscaban maneras de aniquilarlo para siempre, sin saber que el silencio era lo más peligroso para él y lo que más temía.

Traduction temporaire :
Le silence, c'était ce qu'il y avait de plus terrible et ce qui le faisait le plus souffrir ; le silence, c'était le non bruit, le contraire de ce qu'il était lui, car il était tout le bruit et ce silence le terrorisait ; le silence, c'était la mort et non la vie ; la poudre, c'était la vie,  toute la vie ; et les hommes, habitués au calme et à l'obscurité, cherchaient le moyen de l'anéantir pour toujours, sans savoir que le silence, c'était ce qu'il y avait de plus dangereux pour lui et ce qu'il craignait le plus.

4 commentaires:

Nancy a dit…

El silencio, era lo más terrible y lo que más le dolía; el silencio era el no ruido, lo contrario que era él, que era todo el ruido y a él lo aterrorizaba ese silencio, el silencio era la muerte y no la vida, la pólvora era la vida, toda la vida, y los hombres, acostumbrados al sosiego y la oscuridad, buscaban maneras de aniquilarlo para siempre, sin saber que el silencio era lo más peligroso para él y lo que más temía.

Le silence, c'était la chose la plus terrible et ce qui le faisait le plus souffrir ; le silence, c'était le non bruit, le contraire de ce qu'il était, car il était tout le bruit et ce silence le terrorisait, le silence, c'était la mort et non la vie ; la poudre c'était la vie, toute la vie, et les hommes, habitués au calme et à l'obscurité, faisaient en sorte de l'anéantir pour toujours, sans savoir que le silence, c'était la chose la plus dangereuse pour lui et ce qu'il craignait le plus.

Tradabordo a dit…

Le silence, c'était la chose [débrouille-toi pour supprimer « chose »] la plus terrible et ce qui le faisait le plus souffrir ; le silence, c'était le non bruit, le contraire de ce qu'il était [cheville « lui » ? Je te laisse trancher], car il était tout le bruit et ce silence le terrorisait, [point-virgule ?] le silence, c'était la mort et non la vie ; la poudre [VIRGULE !] c'était la vie, toute la vie, [point-virgule ?] et les hommes, habitués au calme et à l'obscurité, faisaient [un moyen de traduire ici dans « faire » ?] en sorte de l'anéantir pour toujours, sans savoir que le silence, c'était la chose [sans « chose »] la plus dangereuse pour lui et ce qu'il craignait le plus.

Nancy a dit…

Le silence, c'était ce qu'il y avait de plus terrible et ce qui le faisait le plus souffrir ; le silence, c'était le non bruit, le contraire de ce qu'il était lui, car il était tout le bruit et ce silence le terrorisait ; le silence, c'était la mort et non la vie ; la poudre, c'était la vie, toute la vie ; et les hommes, habitués au calme et à l'obscurité, cherchaient le moyen de l'anéantir pour toujours, sans savoir que le silence, c'était ce qu'il y avait de plus dangereux pour lui et ce qu'il craignait le plus.

Tradabordo a dit…

Le silence, c'était ce qu'il y avait de plus terrible et ce qui le faisait le plus souffrir ; le silence, c'était le non bruit, le contraire de ce qu'il était lui, car il était tout le bruit et ce silence le terrorisait ; le silence, c'était la mort et non la vie ; la poudre, c'était la vie, toute la vie ; et les hommes, habitués au calme et à l'obscurité, cherchaient le moyen de l'anéantir pour toujours, sans savoir que le silence, c'était ce qu'il y avait de plus dangereux pour lui et ce qu'il craignait le plus.

OK.