vendredi 11 janvier 2013

Projet Céline – phrase 52

Irse, como lo estaba haciendo él, irse para no regresar nunca más, era tener un poco de bastante coraje, porque igual que el suicida que abandona voluntariamente la vida por el ojo de la cerradura de una pistola, por la puerta exacta, fina, certera de una navaja, él había cortado todas las amarras visibles e invisibles que lo ataban al mundo.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

3 commentaires:

Unknown a dit…

Partir, comme il était en train de le faire, partir pour ne plus jamais revenir, c’était avoir assez de courage, car comme le suicidaire qui abandonne volontairement la vie par le trou de la serrure d’un pistolet, par la porte exacte, fine, certaine d’un couteau, il avait coupé toutes les amarres visibles et invisibles qui l’attachaient au monde.

Tradabordo a dit…

Irse, como lo estaba haciendo él, irse para no regresar nunca más, era tener un poco de bastante coraje, porque igual que el suicida que abandona voluntariamente la vida por el ojo de la cerradura de una pistola, por la puerta exacta, fina, certera de una navaja, él había cortado todas las amarras visibles e invisibles que lo ataban al mundo.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

Partir, comme il était en train de le faire, partir pour ne plus jamais revenir, c’était avoir assez [j'hésite ; est-ce que ça n'est pas dans le sens de « beaucoup » ? Re-réfléchis… Et je me souviens vaguement que c'est lié à ce qui précède, mais j'ai oublié le détail. Je te laisse trancher] de courage, car [virgule] comme [« à l'instar de » ?] le suicidaire qui abandonne volontairement la vie par le trou de la serrure d’un pistolet, par la porte exacte [bizarre / dans le sens de « bonne » ?], fine, certaine [idem] d’un couteau, il avait coupé toutes les amarres visibles et invisibles qui l’attachaient [ou « rattacher » ?] au monde.

Unknown a dit…

Partir, comme il était en train de le faire, partir pour ne plus jamais revenir, c’était avoir beaucoup de courage, car, à l'instar du suicidaire qui abandonne volontairement la vie par le trou de la serrure d’un pistolet, par la bonne porte, celle, fine et précise, d’un couteau, il avait coupé toutes les amarres visibles et invisibles qui le rattachaient au monde.