mardi 4 février 2014

Projet Audrey 4 – phrase 2


El calor que acompañó al muchacho desde la calle provocándole una comezón en los brazos y la cara había contribuido a su actual disposición de ánimo que se conjugaba en una mirada de comemierda.

Traduction temporaire :
La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme – lui causant des démangeaisons sur les bras et le visage – avait contribué à son humeur, lisible dans son regard de pauvre con.

14 commentaires:

Unknown a dit…

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme en lui provoquant des démangeaisons sur les bras et le visage avait contribué à son humeur [du moment], qui se lisait dans un regard d'abruti.

Tradabordo a dit…

La chaleur de la rue qui entra avec [« à la suite » pour être plus proche de la V.O. ?] le jeune homme en [non ; pas deux actions concomitantes] lui provoquant des démangeaisons sur les bras et le visage avait contribué à son humeur [du moment], qui se lisait dans un regard d'abruti.

Je trouve que l'ensemble manque de naturel et de fluidité. Un travail plus musclé sur le texte s'impose.

Unknown a dit…

Je suis bien d'accord !!!
Je vais y réfléchir...

Tradabordo a dit…

Certaines phrases ne peuvent se contenter d'une trad littérale.

Unknown a dit…

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme, celle qui lui provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

Ou ce serait peut-être mieux si je faisais plusieurs phrases ?

Unknown a dit…

Tu m'as oubliée ou ma phrase est trop nulle ?
ou les deux ? ;-)

Tradabordo a dit…

Non, j'avais zappé… Quand tu vois que ça bouge chez les autres, mais pas chez toi, relance-moi tout de suite.

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme, celle qui lui [nécessaire ? Pourquoi pas comme en V.O; ? Tu changes de plus en plus… attention à la réécriture] provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

Unknown a dit…

D'accord.

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme, qui lui provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

On dirait que j'ai parfois du mal à trouver le juste milieu entre littéralité et réécriture...

Tradabordo a dit…

C'est toute la difficulté de la traduction par rapport à la version et il n'y a que l'expérience qui peut te permettre de t'y retrouver… un peu ;-)

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme, qui [ça m'embête ces deux « qui » // au-delà de la répétition, ça crée un parallélisme qui n'est pas là] lui provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

Unknown a dit…

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme et lui provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

Tradabordo a dit…

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme et lui provoquait [naturel ? Je relis, relis, relis… et j'ai un doute] des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à [idem] son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

Unknown a dit…

La chaleur de la rue, qui lui provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, entra avec le jeune homme. Elle avait contribué à son humeur du moment, que l'on pouvait lire dans son regard de crétin.

J'ai un peu l'impression de tourner en rond avec cette maudite phrase... Je reste plutôt sur ma proposition précédente :

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme et lui provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

Tradabordo a dit…

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme et lui provoquait des démangeaisons sur les bras et le visage, avait contribué à son humeur du moment. Celle-ci se lisait dans son regard de crétin.

Je te propose :

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme – lui causant des démangeaisons sur les bras et le visage – avait contribué à son humeur, lisible dans son regard de pauvre con.

OK ?

Unknown a dit…

La chaleur de la rue qui entra avec le jeune homme – lui causant des démangeaisons sur les bras et le visage – avait contribué à son humeur, lisible dans son regard de pauvre con.

Parfait. Merci...