Casi había gateado. ¡Me reventaba las pelotas la mocosa! El polo que usaba dejaba ver sus tetas apenas cubiertas por un sostén azulado.
Traduction temporaire :
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser les couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser les couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.
9 commentaires:
Il manque ces deux phrases: "No la consolé, pero dejé de reírme y ella se fue calmando. Después me miró, cogió el cuento y se acercó a mí sin bajarse de la cama."
Je ne la consolai pas, mais j'arrêtai de rire et elle commença à se calmer. Puis elle me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit.
Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine recouverts par un soutien-gorge bleuté.
OK… alors restons ici pour l'ensemble des phrases. Les manquantes et les suivantes. Ce sera plus simple.
Je ne la consolai pas, mais j'[nécessaire ?]arrêtai de rire et elle commença [nécessaire ?] à se calmer. Puis elle me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit.
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma. Puis elle me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine recouverts par un soutien-gorge bleuté.
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma. Puis elle [enlève le point + « , puis »] me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle [avec « me » ici ?] faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine recouverts [naturel ?] par un soutien-gorge bleuté.
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser mes [à adapter ; regarde autour quand tu corriges quelque chose… Assure-toi que ça ne crée pas des pbs] couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser les couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser les couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.
OK.
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