vendredi 7 février 2014

Projet Joana – phrase 67-69

Casi había gateado. ¡Me reventaba las pelotas la mocosa! El polo que usaba dejaba ver sus tetas apenas cubiertas por un sostén azulado.

Traduction temporaire :
Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser les couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.

9 commentaires:

Unknown a dit…

Il manque ces deux phrases: "No la consolé, pero dejé de reírme y ella se fue calmando. Después me miró, cogió el cuento y se acercó a mí sin bajarse de la cama."

Je ne la consolai pas, mais j'arrêtai de rire et elle commença à se calmer. Puis elle me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit.

Unknown a dit…

Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine recouverts par un soutien-gorge bleuté.

Tradabordo a dit…

OK… alors restons ici pour l'ensemble des phrases. Les manquantes et les suivantes. Ce sera plus simple.

Je ne la consolai pas, mais j'[nécessaire ?]arrêtai de rire et elle commença [nécessaire ?] à se calmer. Puis elle me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit.

Unknown a dit…

Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma. Puis elle me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine recouverts par un soutien-gorge bleuté.

Tradabordo a dit…

Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma. Puis elle [enlève le point + « , puis »] me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle [avec « me » ici ?] faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine recouverts [naturel ?] par un soutien-gorge bleuté.

Unknown a dit…

Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser mes couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.

Tradabordo a dit…

Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser mes [à adapter ; regarde autour quand tu corriges quelque chose… Assure-toi que ça ne crée pas des pbs] couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.

Unknown a dit…

Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser les couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.

Tradabordo a dit…

Je ne la consolai pas, mais arrêtai de rire et elle se calma, puis me regarda, prit la nouvelle et s'approcha de moi sans descendre du lit. Elle avait presque marché à quatre pattes. Elle me faisait exploser les couilles, la morveuse ! Le polo qu'elle portait laissait voir ses nichons à peine vêtus d'un soutien-gorge bleuté.

OK.