Mientras la buseta, casi vacía, se alejaba del lugar, miró al interior del costal: millones y millones de pesos, raudales de billetes, suficientes para mantener a cuatro generaciones de ociosos. Tantos billetes no podían ser verdad. Se pellizcó, se dio cachetadas, se concentró en despertar por segunda vez. Cuando tuvo la certeza de que, en efecto, estaba despierto, sonrió.
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10 commentaires:
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a regardé à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une quantité énorme de billets, de quoi entretenir quatre générations de glandeurs. Autant de billets ne pouvaient pas être vrais. Il s’est pincé, s’est donné des baffes, s’est concentré pour se réveiller une seconde fois. Ce n’est qu'une fois qu'il a eu la certitude qu'il était vraiment réveillé qu’il a souri.
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a regardé [« jeté un coup d'œil » ? Je finis par avoir des doute sur le passé composé // il faudra que vous y réfléchissiez au moment de la relecture] à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une quantité énorme [plus près de la V.O.] de billets, de quoi entretenir quatre générations de glandeurs [registre ?]. Autant de billets ne pouvaient pas être vrais [naturel ?]. Il s’est pincé, s’est donné des baffes [ou « gifles » ?], s’est concentré pour se réveiller une seconde fois [manque de naturel]. Ce n’est qu'une fois qu'il a eu la certitude qu'il était vraiment réveillé [un moyen de ne pas répéter ?] qu’il a souri.
Oui, ça fait bien longtemps que j’ai aussi des doutes sur le passé composé. Je pense qu’il faudra repasser au passé simple lors des relectures.
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a jeté un coup d'œil à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une multitude de billets, de quoi entretenir quatre générations de fainéants. Tous ces billets ne pouvaient pas être réels. Il s’est pincé, s’est donné des gifles, a rassemblé ses forces pour se réveiller une seconde fois. Ce n’est qu’après avoir eu la certitude qu'il ne rêvait pas qu’il a souri.
Moi aussi.
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a jeté un coup d'œil à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une multitude [« cascade » ?] de billets, de quoi entretenir quatre générations de fainéants. Tous ces billets ne pouvaient pas être réels. Il s’est pincé, s’est donné des gifles, a rassemblé ses forces [c'est pas ça… mais là, je n'arrive pas à trouver ; je l'ai sur le bout de la langue… c'est agaçant] pour se réveiller une seconde fois. Ce n’est qu’après avoir eu la certitude qu'il ne rêvait pas qu’il a souri.
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a jeté un coup d'œil à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une cascade de billets, de quoi entretenir quatre générations de fainéants. Tous ces billets ne pouvaient pas être réels. Il s’est pincé, s’est donné des gifles, s’est escrimé à se réveiller une seconde fois. Ce n’est qu’après avoir eu la certitude qu'il ne rêvait pas qu’il a souri.
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a jeté un coup d'œil à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une cascade de billets, de quoi entretenir quatre générations de fainéants. Tous ces billets ne pouvaient pas être réels. Il s’est pincé, s’est donné des gifles, s’est escrimé à [« a bataillé pour » ?] se réveiller une seconde fois. Ce n’est qu’après avoir eu la certitude qu'il ne rêvait pas qu’il a souri.
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a jeté un coup d'œil à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une cascade de billets, de quoi entretenir quatre générations de fainéants. Tous ces billets ne pouvaient pas être réels. Il s’est pincé, s’est donné des gifles, a bataillé pour se réveiller une seconde fois. Ce n’est qu’après avoir eu la certitude qu'il ne rêvait pas qu’il a souri.
Alors que le minibus, quasiment vide, s’éloignait, il a jeté un coup d'œil à l’intérieur du sac : des millions et des millions de pesos, une cascade de billets, de quoi entretenir quatre générations de fainéants. Tous ces billets ne pouvaient pas être réels. Il s’est pincé, s’est donné des gifles, a bataillé pour se réveiller une seconde fois. Ce n’est qu’après avoir eu la certitude qu'il ne rêvait pas qu’il a souri.
OK.
Justine ?
Le texte est terminé… Je vous laisse aller dans Travaux en cours et faire les relectures.
OK !
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