—¿Qué hace? —Zebrel trató de liberarse del poderoso apretón, pero la fuerza de la garra metálica era descomunal. —¡Déjeme en paz! —gritó sin poder evitar que una pizca de histeria se colara en su voz.
—¿Paz, hermano, qué paz reclamas, la paz del Señor, tal vez? —aulló la mujer sin aflojar el apretón y sin dejar de blandir la Biblia con la otra mano—. La paz no se reclama; la paz se gana palmo a palmo con sufrimiento. No existe otro camino que el Camino. ¿No tienes alma, hermano? Te daremos una a bajo costo. El dolor será el núcleo de tu alma, y cuanto más sufras más crecerá.
Traduction temporaire :
— Qu'est-ce que vous faites ? Zebrel tenta de se libérer de la puissante étreinte, mais la force de cette serre mécanique était hors du commun. Fichez-moi la paix ! cria-t-il, sans éviter qu'une pointe d'hystérie ne se glisse dans sa voix.
— La paix, mon frère ? Quelle paix réclames-tu, la paix du Seigneur, peut-être ? hurla la femme, sans desserrer sa prise et en continuant de brandir la Bible dans son autre main. La paix ne se réclame pas, la paix se gagne pas à pas avec la souffrance. Il n'existe pas d'autre chemin que le Chemin. Tu n'as pas d'âme, mon frère ? Nous t'en donnerons une à bas prix. La douleur sera le noyau de ton âme, et plus tu souffriras, plus tu grandiras.
— La paix, mon frère ? Quelle paix réclames-tu, la paix du Seigneur, peut-être ? hurla la femme, sans desserrer sa prise et en continuant de brandir la Bible dans son autre main. La paix ne se réclame pas, la paix se gagne pas à pas avec la souffrance. Il n'existe pas d'autre chemin que le Chemin. Tu n'as pas d'âme, mon frère ? Nous t'en donnerons une à bas prix. La douleur sera le noyau de ton âme, et plus tu souffriras, plus tu grandiras.
5 commentaires:
— Qu'est-ce que vous faîtes ? Zebrel tenta de se libérer de l'étreinte puissante, mais la force de cette serre mécanique était hors du commun. Fichez-moi la paix ! cria-t-il, sans pouvoir éviter qu'une pointe d'hystérie ne se glisse dans sa voix.
— La paix, mon frère ? Quelle paix tu réclames, la paix du Seigneur, peut-être ? hurla la femme, sans desserrer sa prise et en continuant de brandir la Bible avec son autre main. La paix ne se réclame pas ; la paix se gagne pas à pas avec la souffrance. Il n'existe pas d'autre chemin que le Chemin. Tu n'as pas d'âme, mon frère ? Nous t'en donnerons une à bas prix. La douleur sera le noyau de ton âme, et plus tu souffriras, plus tu grandiras.
— Qu'est-ce que vous faîtes [grammaire !!!!!] ? Zebrel tenta de se libérer de l'étreinte puissante, mais la force de cette serre mécanique était hors du commun. Fichez-moi la paix ! cria-t-il, sans pouvoir [nécessaire ?] éviter qu'une pointe d'hystérie ne se glisse dans sa voix.
— La paix, mon frère ? Quelle paix tu réclames [inverse], la paix du Seigneur, peut-être ? hurla la femme, sans desserrer sa prise et en continuant de brandir la Bible avec [« dans » ?] son autre main. La paix ne se réclame pas ; [virgule ?] la paix se gagne pas à pas avec la souffrance. Il n'existe pas d'autre chemin que le Chemin. Tu n'as [inverse] pas d'âme, mon frère ? Nous t'en donnerons une à bas prix. La douleur sera le noyau de ton âme, et plus tu souffriras, plus tu grandiras.
— Qu'est-ce que vous faites ? Zebrel tenta de se libérer de l'étreinte puissante, mais la force de cette serre mécanique était hors du commun. Fichez-moi la paix ! cria-t-il, sans éviter qu'une pointe d'hystérie ne se glisse dans sa voix.
— La paix, mon frère ? Quelle paix réclames-tu, la paix du Seigneur, peut-être ? hurla la femme, sans desserrer sa prise et en continuant de brandir la Bible dans son autre main. La paix ne se réclame pas, la paix se gagne pas à pas avec la souffrance. Il n'existe pas d'autre chemin que le Chemin. Tu n'as [là, je ne voulais pas inverser parce qu'elle répète ce qu'il lui a dit juste avant] pas d'âme, mon frère ? Nous t'en donnerons une à bas prix. La douleur sera le noyau de ton âme, et plus tu souffriras, plus tu grandiras.
— Qu'est-ce que vous faites ? Zebrel tenta de se libérer de l'étreinte puissante [ou l'inverse ? Essaie et dis-moi], mais la force de cette serre mécanique était hors du commun. Fichez-moi la paix ! cria-t-il, sans éviter qu'une pointe d'hystérie ne se glisse dans sa voix.
— La paix, mon frère ? Quelle paix réclames-tu, la paix du Seigneur, peut-être ? hurla la femme, sans desserrer sa prise et en continuant de brandir la Bible dans son autre main. La paix ne se réclame pas, la paix se gagne pas à pas avec la souffrance. Il n'existe pas d'autre chemin que le Chemin. Tu n'as pas d'âme, mon frère ? Nous t'en donnerons une à bas prix. La douleur sera le noyau de ton âme, et plus tu souffriras, plus tu grandiras.
— Qu'est-ce que vous faites ? Zebrel tenta de se libérer de la puissante étreinte, mais la force de cette serre mécanique était hors du commun. Fichez-moi la paix ! cria-t-il, sans éviter qu'une pointe d'hystérie ne se glisse dans sa voix.
— La paix, mon frère ? Quelle paix réclames-tu, la paix du Seigneur, peut-être ? hurla la femme, sans desserrer sa prise et en continuant de brandir la Bible dans son autre main. La paix ne se réclame pas, la paix se gagne pas à pas avec la souffrance. Il n'existe pas d'autre chemin que le Chemin. Tu n'as pas d'âme, mon frère ? Nous t'en donnerons une à bas prix. La douleur sera le noyau de ton âme, et plus tu souffriras, plus tu grandiras.
C'est mieux comme ça oui !
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