Volvió a mirar la avenida con gesto de ansiedad, que se convirtió en alivio al aparecer por la esquina el taxi que había llamado. Lo que no pudo ver fue el autobús descontrolado que, por su espalda, enfilaba como un kamikaze hacia la marquesina sin sombra.
Traduction temporaire :
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus incontrôlable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus incontrôlable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
14 commentaires:
Il regarda encore une fois l'avenue avec un geste d'anxiété, lequel devint celui de soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu'il ne vit pas était le bus incontrôlé qui, derrière son dos, se jetait tel un kamikaze contre la marquise sans ombre.
De nouveau, il regarda l'avenue avec une pointe d'anxiété qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, ce fut l'autobus incontrôlable qui, derrière lui, fonçait tout droit tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue avec un geste [FS à mon avis] d'anxiété,
qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé.
OK, mais avec la virgule devant.
Ce qu’il ne put voir, [cheville : « en revanche, »] ce fut [« c'est »] l'autobus incontrôlable [naturel ?] qui, derrière lui [ce serait mieux avec « dos » ; mais par avec « derrière »], fonçait tout [supprimez] droit [virgule] tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, geste qui se transforma en soulagement au moment de voir apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus indomptable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, geste [pas ce que dit la V.O. ; comme vous le savez : gesto = geste, mais aussi, expression du visage, etc.]
qui se transforma en soulagement au moment de voir apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus indomptable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, mimique qui se transforma en soulagement au moment de voir apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus indomptable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, mimique [pourquoi cet ajout ?] qui se transforma en soulagement au moment de voir [mal dit] apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus indomptable [c'est dans le sens où il avait perdu le contrôle non ? Regardez comment on dit, pour les trains, etc.] qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Parce que dans le commentaire précédent, quand vous parlez de "geste" j'avais cru comprendre qu'il fallait trouver autre chose...
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus indomptable [pourquoi on ne peut pas dire incontrôlable ?] qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Oui, c'est ça… mais pas répéter + un synonyme. C'était juste « geste » qui n'allait pas.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus indomptable [pourquoi on ne peut pas dire incontrôlable ? bon OK] qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue avec une attitude anxieuse laquelle devint celle de soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus incontrôlable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue avec une attitude anxieuse laquelle devint celle de soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus incontrôlable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Mirsolaba, reprenez à partir de la dernière version en cours… et ne changez que ce qui pose encore problème.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus incontrôlable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
Il regarda encore une fois l'avenue d'un air anxieux, qui se transforma en soulagement en voyant apparaître, au coin de la rue, le taxi qu'il avait appelé. Ce qu’il ne put voir, en revanche, c'est l'autobus incontrôlable qui, derrière son dos, fonçait droit, tel un kamikaze, vers la marquise sans ombre.
OK.
Margaux ?
Je mets la phrase suivante.
ok
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