—¿En una colchoneta? —indagué, intrigado.
Mi primo Mario asintió con la cabeza:
—Ella se echa en una colchoneta, con el vestido recogido sobre el vientre y las piernas en escuadra, las cuales abre y cierra intermitentemente, como si se abanicara, y lo hace siempre mirándote a los ojos... —y luego, cambiando su tono de voz, casi en un susurro, añadió—: ¿Qué pasa, Fernando? He visto que cada vez que te llega el turno cedes tu lugar.
Traduction temporaire :
— Sur un matelas gonflable ? demandai-je, intrigué.
Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, sa robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, avant de les écarter et les refermer par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux… Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a, Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
— Sur un matelas gonflable ? demandai-je, intrigué.
Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, sa robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, avant de les écarter et les refermer par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux… Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a, Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
8 commentaires:
— Sur un matelas gonflable ? m'étonnai-je, intrigué. Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, la robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, puis elle les ouvre et les ferme par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux... Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
— Sur un matelas gonflable ? m'étonnai-je [en modifiant le verbe, tu crées une redondant avec l'adjectif d'après // au pire, prends un verbe plus neutre], intrigué.
Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, la [« sa »] robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, puis elle les [ou par « avant de les » ou alors un point et tu enchaînes… Fais des essais] ouvre et les ferme par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux... Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
— Sur un matelas gonflable ? demandai-je, intrigué.
Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, sa robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, avant de les ouvrir et les fermer par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux... Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
— Sur un matelas gonflable ? demandai-je, intrigué.
Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, sa robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, avant de les ouvrir [« écarter » ?] et les [« re » ou inutile ? Comme tu veux]fermer par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux... [le raccourci clavier des points de suspension] Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a [virgule] Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
— Sur un matelas gonflable ? demandai-je, intrigué.
Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, sa robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, avant de les écarter et les refermer par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux… Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a, Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
— Sur un matelas gonflable ? demandai-je, intrigué.
Mon cousin Mario acquiesça.
— Elle s'allonge sur le matelas gonflable, sa robe retroussée sur le ventre et les jambes en équerre, avant de les écarter et les refermer par intermittence, comme si elle s'éventait. Et elle fait toujours ça en te regardant dans les yeux… Ensuite, changeant le ton de sa voix, presque dans un murmure, il ajouta : Qu'est-ce qu'il y a, Fernando ? J'ai remarqué qu'à chaque fois que c'est ton tour, tu laisses ta place.
OK.
Nadia ?
ok
ok
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