Suspirando, más aliviado que intrigado, se puso de pie y cogió su maleta, dándose cuenta sin duda alguna, con ese gesto que estaba haciendo, y sin necesidad de que el conductor que ya venía por el pasillo se lo advirtiera, de que el viaje, ese viaje, el primero, había terminado.
Traduction temporaire :
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et, ce faisant, se rendit compte, sans une once de doute et sans que le contrôleur, qui avançait à présent dans le couloir, ait besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et, ce faisant, se rendit compte, sans une once de doute et sans que le contrôleur, qui avançait à présent dans le couloir, ait besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
10 commentaires:
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se mit debout et attrapa sa valise, se rendant compte sans aucun doute en réalisant cette action, et sans que le contrôleur, qui avançait déjà dans le couloir, n’aie besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage, le premier, était terminé.
Suspirando, más aliviado que intrigado, se puso de pie y cogió su maleta, dándose cuenta sin duda alguna, con ese gesto que estaba haciendo, y sin necesidad de que el conductor que ya venía por el pasillo se lo advirtiera, de que el viaje, ese viaje, el primero, había terminado.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se mit debout [ou « se leva » ?] et attrapa sa valise, se rendant compte sans aucun doute en réalisant [trop de gérondifs ; là, il faut que tu trouves une solution ; on verra la suite après… Règle déjà ça] cette action, et sans que le contrôleur, qui avançait déjà dans le couloir, n’aie besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva et attrapa sa valise, se rendant compte sans aucun doute, alors qu’il accomplissait cette action, et sans que le contrôleur, qui avançait déjà dans le couloir, n’aie besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva et attrapa sa valise, se rendant compte sans aucun doute [peu clair ; « sans aucun doute » est supposé porter sur quoi ?], alors qu’il accomplissait cette action [simplifie / plus de naturel], et sans que le contrôleur, qui avançait déjà [pas dans ce sens] dans le couloir, n’aie [grammaire] besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage [cheville « -là » ?], le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et se rendit compte, ce faisant, sans erreur possible et sans que le contrôleur, qui avançait maintenant dans le couloir, n’ait eu besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et se rendit compte, ce faisant [ok ; mais alors avance-le], sans erreur possible [ou « sans une once de doute » ? Je te laisse trancher] et sans que le contrôleur, qui avançait maintenant [ou « à présent » ?] dans le couloir, n’ait eu [pourquoi « eu » ?] besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et, ce faisant, se rendit compte, sans une once de doute et sans que le contrôleur, qui avançait à présent dans le couloir, n’ait besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et, ce faisant, se rendit compte, sans une once de doute et sans que le contrôleur, qui avançait à présent dans le couloir, n’ait [ou « ait », au fait ?] besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et, ce faisant, se rendit compte, sans une once de doute et sans que le contrôleur, qui avançait à présent dans le couloir, ait besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
En soupirant, plus soulagé qu’intrigué, il se leva, attrapa sa valise et, ce faisant, se rendit compte, sans une once de doute et sans que le contrôleur, qui avançait à présent dans le couloir, ait besoin de le lui signaler, que le voyage, ce voyage-là, le premier, était terminé.
OK.
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