samedi 30 novembre 2013

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 24

El Río de la Plata, y esta es una imagen que jamás podré olvidar, se tornó un bloque compacto y macizo del color del tamarindo, lo que permitió de una vez por todas que los yoruguas, desde su orilla, dominaran país, dando rienda suelta a sus soterrados delirios colonialistas motivados por el tamaño de su nación1(acordé con la generalidad de su miembro viril).

Traduction temporaire :
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).


1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Le Río de la Plata – c’est une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin, ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer une fois pour toutes le pays, laissant libre cours à leurs délires colonialistes cachés, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 No deja de ser ridículo que los únicos beneficiados por las debacles del calentamiento global hayan sido los miserables uruguayos. Nota de la transcriptora.

1 Il est ridicule que les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique aient été les misérables Uruguayens. Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

Le Río de la Plata – c’est [nécessaire ?] une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin, [ou point-virgule ?] ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer une fois pour toutes [avance-le] le pays,

laissant libre cours à leurs délires colonialistes cachés, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

Unknown a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis une fois pour toutes aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays, laissant libre cours à leurs délires colonialistes cachés, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 No deja de ser ridículo que los únicos beneficiados por las debacles del calentamiento global hayan sido los miserables uruguayos. Nota de la transcriptora.

1 Il est ridicule que les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique aient été les misérables Uruguayens. Note de la transcriptrice.

Sonita a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays une fois pour toutes

laissant libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

Tradabordo a dit…

OK pour la version de Sonita :
Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays une fois pour toutes

Céline, qu'en penses-tu ?

laissant [qu'est-ce qui est le sujet de ça ?] libre cours à leurs délires colonialistes cachés [oui, pour « inavoués »], motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique aient été les misérables Uruguayens [le mettre avant ? Essayez]. Note de la transcriptrice.

Unknown a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive, de dominer le pays une fois pour toutes et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que les misérables Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens, depuis leur rive [ou après « une fois pour toutes » ? Essaie et dis-moi ce qui est mieux], de dominer le pays une fois pour toutes et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que les misérables Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

Unknown a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que les misérables Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que les misérables [ou « ces misérables de » ?] Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

Sonita a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

OK… Céline ?

J'attends pour mettre la suite.

Unknown a dit…

Le Río de la Plata – une image que je ne pourrai jamais oublier – s’est transformé en un bloc compact et massif de la couleur du tamarin ; ce qui a permis aux Uruguayens de dominer le pays une fois pour toutes depuis leur rive et de laisser libre cours à leurs délires colonialistes inavoués, motivés par la taille de leur nation1 (en accord avec la générosité de leur membre viril).

1 Il est ridicule que ces misérables d'Uruguayens aient été les seuls à bénéficier des conséquences désastreuses du réchauffement climatique. Note de la transcriptrice.

OK