lundi 10 février 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrases 38-39

Por fortuna. las porteñas sobrevivientes son profesionistas, labriegas y algunas pocas deportistas, poco dotadas para el trabajo ingenieril). En este momento nadie amenaza mi estabilidad con una retroexcavadora ni veo grúas de demolición en el próximo horizonte.

Traduction temporaire :
Par chance, les survivantes de Buenos Aires sont des professionnelles, des paysannes et, pour quelques-unes, des sportives, toutes peu douées en ingénierie). Pour l'heure, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse, et je ne vois pas de grue de démolition dans les environs.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Par chance, les Portènes qui restent sont salariées, paysannes et pour quelques-unes sportives, peu disposées au travail d’ingénierie). Pour l’heure, personne ne menace ma stabilité avec un tractopelle, et je ne vois pas de grues de démolition dans l’horizon proche.

Shanok a dit…

Heureusement, les survivantes de Buenos Aires sont des professionnelles, des cultivatrices et quelques-unes sont des sportives, peu douées pour le travail d'ingénierie. En ce moment, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse et je ne vois pas de grue de démolition dans les environs.

Tradabordo a dit…

Vos versions sont très différentes… essayez de prendre le meilleur de l'une et l'autre pour faire une synthèse ; je commenterai la première version publiée.

Sonita a dit…

Par chance, les survivantes de Buenmos Aires sont des professionnelles, des paysannes et, pour quelques-unes, des sportives, toutes peu douées en ingénierie. Pour l'heure, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse, te je ne vous pas de grue de démolition dans les environs.

Tradabordo a dit…

Par chance, les survivantes de Buenmos [?] Aires sont des professionnelles, des paysannes et, pour quelques-unes, des sportives, toutes [nécessaire ?] peu douées en ingénierie [il ferme une parenthèse, lui, ici ; une coquille ?]. Pour l'heure, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse, te je ne vous [? Relis-toi avant de publier] pas de grue de démolition dans les environs.

Sonita a dit…

Désolée, j'ai publié trop vite.
Pour ce qui est de la parenthèse, il me semble que c'est bien une coquille car je ne vois pas où elle commence.

***
Par chance, les survivantes de Buenos Aires sont des professionnelles, des paysannes et, pour quelques-unes, des sportives, toutes [nécessaire ? - il me semble que si on ne fait pas cet ajout, ce qui suit ne s'appliquerait qu'aux sportives, non ?] peu douées en ingénierie. Pour l'heure, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse, et je ne vois pas de grue de démolition dans les environs.

Tradabordo a dit…

Par chance, les survivantes de Buenos Aires sont des professionnelles, des paysannes et, pour quelques-unes, des sportives, toutes peu douées en ingénierie. Pour l'heure, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse, et je ne vois pas de grue de démolition dans les environs.

OK.

Céline ?

Attendons là… car comme la phrase n'est pas facile, je préfère avoir l'avis de Céline.

En attendant, veux-tu faire une micro-nouvelle seule ?

Sonita a dit…

Oui, je veux bien !
Je te remercie de ta confiance :)

Unknown a dit…

Par chance, les survivantes de Buenos Aires sont des professionnelles, des paysannes et, pour quelques-unes, des sportives, toutes peu douées en ingénierie). Pour l'heure, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse, et je ne vois pas de grue de démolition dans les environs.

OK, sauf que la parenthèse n'est pas une coquille, la parenthèse ouvrante était dans la phrase précédente.

Tradabordo a dit…

OK… Bien vu.

Sonita a dit…

Ok !

Par chance, les survivantes de Buenos Aires sont des professionnelles, des paysannes et, pour quelques-unes, des sportives, toutes peu douées en ingénierie). Pour l'heure, personne ne menace ma stabilité avec une pelleteuse, et je ne vois pas de grue de démolition dans les environs.

Sonita a dit…

La suite ?
:)