samedi 15 février 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrases 41-42

-Disculpa, amiga, ¿quieres bailar?
Ella, luego de mirarme con sus ojos de gato faraónico y sonreírme con displicencia (palabra proscrita de su vocabulario, según comprobaría más adelante) y desde luego desconociendo el dictum mayor de Giacomo Leopardi1, sólo atinó a expectorar, tras intercambiar una mirada con su amiga, acaso menos bella:

1 “Soy tímido con las mujeres, luego, Dios no existe”. N. de t.

Traduction temporaire :
— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je l'apprendrais par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre à faire qu'expectorer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle : 

(1) « Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas. » Note de la transcriptrice.

11 commentaires:

Sonita a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Elle, après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et de me sourire avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je le vérifierais plus tard)et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre qu'à soupirer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Elle [placé après + relis la suite… c'est chaotique], après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et de me sourire avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je le vérifierais plus tard)et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre qu'à soupirer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Sonita a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je le vérifierais plus tard)et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre qu'à soupirer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

Rétablis tes espaces

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je le vérifierais plus tard)et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre qu'à soupirer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Sonita a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je le vérifierais par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre qu'à soupirer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je le vérifierais [naturel ?] par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre qu'à soupirer [incorrect] après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Sonita a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je l'apprendrais par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre qu'à expectorer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je l'apprendrais par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre [cheville : « à faire »] qu'à [« qu'»] expectorer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1)"Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas." Note de la transcriptrice.

Unknown a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je l'apprendrais par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre à faire qu'expectorer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1) « Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas. » Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je l'apprendrais par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre à faire qu'expectorer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1) « Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas. » Note de la transcriptrice.

OK.

Sonita ?

Sonita a dit…

— Excuse-moi, mademoiselle, veux-tu danser ? Après m'avoir regardé avec ses yeux de chat pharaonique et m'avoir souri avec indifférence (mot proscrit de son vocabulaire, comme je l'apprendrais par la suite) et, bien sûr, ne connaissant pas le dictum majeur de Giacomo Leopardi (1), elle n'a trouvé rien d'autre à faire qu'expectorer après avoir échangé un regard avec son amie, peut-être moins belle :

(1) « Je suis timide avec les femmes, donc, Dieu n'existe pas. » Note de la transcriptrice.

OK.