García Márquez estaba boquiabierto. ¿Es que era posible Dios? ¿Es que sí era cierto el cuento ese de los pecados en la vida terrestre y el tener que dar cuenta de cada uno de nuestros actos, pensamientos y omisiones? Por un momento, el escritor sintió miedo.
Traduction temporaire :
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain fut saisi par la peur.
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain fut saisi par la peur.
12 commentaires:
Ce "es que" me donne un peu de fil à retordre. J'ai essayé de trouver un équivalent, mais à force de chercher des solutions, je ne vois plus si c'est naturel ou pas du tout :
García Márquez en restait [déjà beaucoup de "était" avant]bouche bée. Mais alors, Dieu, c'était possible ? Mais alors, oui, cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le devoir de prendre en compte chacun de nos actes, pensées et omissions était vrai ?
García Márquez en restait [déjà beaucoup de "était" avant]bouche bée [« coi » ?]. Mais alors, Dieu, c'était possible [est-ce qu'on comprend bien qu'il se pose la question sur l'existence de Dieu ?] ? Mais [tu es sûre que tu répètes « Mais » ?] alors, oui, cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le devoir [pas ce que dit la V.O.] de prendre en compte chacun de nos actes, pensées et omissions était vrai [manque de naturel dans ta question] ?
J'avais oublié la fin de la phrase :
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Alors cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à prendre en compte chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain prit peur.
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Alors [vois si tu peux ne pas répéter le « Alors »] cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à prendre [FS] en compte chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain prit peur.
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Alors [vois si tu peux ne pas répéter le « Alors » / Malgré la répétition en VO ?] cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain prit peur.
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Alors [vois si tu peux ne pas répéter le « Alors » / Malgré la répétition en VO ? // tu la trouves heureuse ?] cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain prit peur.
Caroline : 1 - Manon : 0. ;-)
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain prit peur.
Le commentaire précédent est bien de moi, problème d'identification !
Le commentaire précédent est bien de moi, problème d'identification !
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain prit [ou : « fut saisi par la » ? Comme tu veux] peur.
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain fut saisi par la peur.
García Márquez en restait coi. Mais alors, Dieu existait ? Cette histoire de péchés pendant la vie sur terre et le fait d'avoir à rendre compte de chacun de nos actes, pensées et omissions, c'était vrai ? L'espace d'un instant, l'écrivain fut saisi par la peur.
OK.
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