Había dado unos veinte pasos, cuando el manto de niebla perdió su espesor, y entonces pensó que era posible celebrar la despedida. Apretó a Antonio, besó su cabecita de gaza y consintió que su mascota le lamiera la nariz.
Traduction temporaire :
Il avait fait une vingtaine de pas, quand la couche de brouillard perdit de sa consistance. Il pensa alors qu’il était envisageable de fêter leurs adieux. Il serra Antonio, embrassa sa petite tête de piaf et consentit à ce que son animal de compagnie lui lèche le nez.
Il avait fait une vingtaine de pas, quand la couche de brouillard perdit de sa consistance. Il pensa alors qu’il était envisageable de fêter leurs adieux. Il serra Antonio, embrassa sa petite tête de piaf et consentit à ce que son animal de compagnie lui lèche le nez.
4 commentaires:
Il avait fait une vingtaine de pas quand le manteau de brouillard perdit de la consistance, il pensa alors qu’il était envisageable de fêter les adieux. Il serra Antonio, embrassa sa petite tête de ganse et consentit à ce que son animal de compagnie lui lèche le nez.
Il avait fait une vingtaine de pas, quand le manteau [ou « couche » ?] de brouillard perdit de la [?] consistance, [point ?] il pensa alors qu’il était envisageable de fêter les [?] adieux. Il serra Antonio, embrassa sa petite tête de ganse [?] et consentit à ce que son animal de compagnie lui lèche le nez.
Il avait fait une vingtaine de pas, quand la couche de brouillard perdit de sa consistance. Il pensa alors qu’il était envisageable de fêter leurs adieux. Il serra Antonio, embrassa sa petite tête de piaf et consentit à ce que son animal de compagnie lui lèche le nez.
Il avait fait une vingtaine de pas, quand la couche de brouillard perdit de sa consistance. Il pensa alors qu’il était envisageable de fêter leurs adieux. Il serra Antonio, embrassa sa petite tête de piaf et consentit à ce que son animal de compagnie lui lèche le nez.
OK.
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