Escarbando en su poesía se ven y palpan, latentemente, estas vacilaciones entre dos mundos y dos visiones que se pelean y disputan, como una piltrafa, el cuerpo y el alma del poeta, la totalidad sin usuras ni condiciones de su ser, la maldita bendición, la necesidad irrefrenable de bastarse a sí mismo, como su propio alimento y su propio apetito o la de darse dramáticamente furioso, entregarse generosa e incondicionalmente, del que sabe que puede ser y es necesario, del que intuye que otras voces, otros clamores, otras necesidades, otras urgencias, también de amor, también de fe, de esperanza, de caridad, de compromiso, lo están esperando.
Traduction temporaire :
En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent, comme s’il s’agissait d’un morceau de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité de son être sans usures ni conditions, la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à soi-même, d’être son propre aliment et son propre appétit, ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et est nécessaire, de celui qui an l'intuition que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent, comme s’il s’agissait d’un morceau de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité de son être sans usures ni conditions, la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à soi-même, d’être son propre aliment et son propre appétit, ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et est nécessaire, de celui qui an l'intuition que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
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En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent, comme s’il s’agissait d’un bout de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité sans usures ni conditions de son être, la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à lui-même – comme son propre aliment et son propre appétit – ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et qu’il est nécessaire, de celui qui pressent que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent,
OK
comme s’il s’agissait d’un bout de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité sans usures ni conditions de son être [pas mieux en l'avançant ?], la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à lui[« soi » ?]-même
– comme [tu l'as dans la section d'avant // vois si tu peux faire sans + j'hésite sur la nécessité de l'entre-tirets] son propre aliment et son propre appétit –
ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et qu’il est nécessaire, de celui qui pressent que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent, comme s’il s’agissait d’un bout de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité de son être sans usures ni conditions, la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à soi-même, d’être son propre aliment et son propre appétit, ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et qu’il est nécessaire, de celui qui pressent que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent, comme s’il s’agissait d’un bout [« morceau » ?] de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité de son être sans usures ni conditions, la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à soi-même, d’être son propre aliment et son propre appétit, ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et qu’il [nécessaire ?] est nécessaire, de celui qui pressent [ou « avoir l'intuition » ? Comme tu veux] que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent, comme s’il s’agissait d’un morceau de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité de son être sans usures ni conditions, la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à soi-même, d’être son propre aliment et son propre appétit, ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et est nécessaire, de celui qui an l'intuition que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
En fouillant dans sa poésie, on voit et on palpe, de manière latente, ces oscillations entre deux mondes et deux visions qui se battent et se disputent, comme s’il s’agissait d’un morceau de viande, le corps et l’âme du poète, la totalité de son être sans usures ni conditions, la maudite bénédiction, la nécessité irrépressible de se suffire à soi-même, d’être son propre aliment et son propre appétit, ou celle de devenir dramatiquement furieux, de se livrer généreusement et inconditionnellement, de celui qui sait qu’il peut être et est nécessaire, de celui qui an l'intuition que d’autres voix, d’autres clameurs, d’autres besoins, d’autres urgences, d’amour aussi, de foi aussi, d’espoir, de charité, d’engagement, l’attendent.
OK.
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