Cada vez que volvía a su lugar para sacar, se echaba hacia atrás en un gesto brusco un flequillo que le caía sobre la frente y resoplaba con el pie junto a la línea como un corredor a duras penas contenido.
Traduction temporaire :
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et, le pied au ras de la ligne, soufflait comme un coureur piaffant.
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et, le pied au ras de la ligne, soufflait comme un coureur piaffant.
11 commentaires:
À chaque fois qu'il revenait à sa place pour servir, il jetait vers l'arrière d'un geste brusque, une mèche qui tombait sur son front et soufflait comme un coureur qui se retenait à peine, en mettant son pied près de la ligne.
À chaque fois qu'il revenait à sa place [« de son côté »] pour servir, il jetait vers l'arrière [mal dit] d'un geste brusque, [supprime] une mèche qui tombait sur son [avec « lui… sur le »] front et soufflait comme un coureur qui se retenait à peine [??????], en mettant son pied près de la ligne [gros manque de clarté].
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait en arrière d'un geste brusque une mèche qui lui tombait sur le front et soufflait comme un coureur qui avait du mal à se retenir, le pied près de la ligne.
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait en arrière d'un geste brusque une mèche [Ønon, ça ne va pas non plus ; je sens que ça va nous embêter, ça… Essaie une autre combinaison] qui lui tombait sur le front et soufflait comme un coureur qui avait du mal à se retenir, le pied près de la ligne.
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et soufflait comme un coureur qui avait du mal à se retenir, le pied près de la ligne.
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et soufflait comme un coureur qui avait du mal à se retenir [« piaffant »], le pied près de [« sur » ?] la ligne.
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et soufflait comme un coureur piaffant, le pied près de la ligne.
Je préfère "près de" à "sur", car sinon, ce serait faute.
Dans ce cas, au ras de… pour être encore plus en cohérence avec son impatience.
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et soufflait comme un coureur piaffant, le pied au ras de la ligne.
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et soufflait comme un coureur piaffant, le pied au ras de la ligne.
Je te propose :
À chaque fois qu'il revenait de son côté pour servir, il jetait brusquement en arrière une mèche qui lui tombait sur le front et, le pied au ras de la ligne, soufflait comme un coureur piaffant.
OK ?
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