Augusto Casola (Paraguay)
EL MUERTO
Al abrir la puerta y verlo, supe que estaba muerto. El ave, grande y silenciosa, envuelta en su soledad profunda, me recibió posada a un costado del cuerpo. Fue entonces, al desplegar sus alas, cuando comenzaron a fluir las imágenes y los recuerdos en la monótona cadencia reiterada de ir hasta el final para volver a comenzar de nuevo.
Traduction temporaire :
En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début.
Augusto Casola
(Paraguay)
« Le mort »
En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début.
10 commentaires:
Augusto Casola (Paraguay)
« Le mort »
En ouvrant la porte, dès le premier coup d’œil, je sus qu'il était mort. L'oiseau, grand et silencieux, enveloppé dans sa solitude profonde, m’accueillit, perché sur un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, suivant la cadence monotone et répétitive du voyage jusqu'au bout qui recommence ensuite à nouveau.
Je crois que celle-ci est passée entre les mailles du filet. :)
En effet ; le problème c'est que ça publie à l'heure où vous postez et non quand je valide. Total : tout est mélangé.
Augusto Casola (Paraguay)
« Le mort »
En ouvrant la porte, dès le premier coup d’œil [après ?], je sus qu'il était mort. L'oiseau [ou après ? Essaie], grand et silencieux, enveloppé dans sa solitude profonde [ou l'inverse ?], m’accueillit, perché sur [« l' » ?]un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, suivant la cadence monotone et répétitive du voyage jusqu'au bout qui recommence ensuite à nouveau [la fin manque de fluidité].
En ouvrant la porte, après un premier coup d’œil, je sus qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans sa profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, suivant la cadence monotone et répétitive du voyage jusqu'à la fin revenant ensuite au début.
Auteur, etc.
En ouvrant la porte, après un premier coup d’œil [ou avec « suffire » ?], je sus qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans sa profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, suivant la cadence monotone et répétitive du voyage jusqu'à la fin [c'est ça qui ne va pas, je crois…] revenant ensuite au début.
En ouvrant la porte, un premier coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans sa profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour revenir au début à nouveau.
Je ne suis toujours pas convaincue, je comprends l'idée mais j'ai un peu de mal à l'exprimer.
Augusto Casola (Paraguay)
« Le mort »
En ouvrant la porte, un premier coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans sa profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour revenir au début à nouveau.
Je ne suis toujours pas convaincue, je comprends l'idée mais j'ai un peu de mal à l'exprimer. (J'avais oublié le titre/auteur.)
Augusto Casola (Paraguay)
« Le mort »
En ouvrant la porte, un premier [nécessaire ?] coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans sa [« une » ?] profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour revenir au début à nouveau [« pour ensuite de nouveau revenir au début » ?].
Augusto Casola (Paraguay)
« Le mort »
En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début.
Augusto Casola (Paraguay)
« Le mort »
En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début.
OK.
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