Yolanda Nava
LA VISITA
Le visito los lunes, miércoles y jueves. Me espera sentado al lado de la ventana mirando las copas de los árboles del jardín. No muda la expresión de su rostro cuando llego. Me cuenta que está solo en la vida, que no tiene a nadie, después baja la mirada y ya no habla más. Sujeto su mano entre las mías, nuestros aros de casados se rozan durante un instante fugaz.
Traduction temporaire :
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis près de la fenêtre, à contempler les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace.
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis près de la fenêtre, à contempler les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace.
6 commentaires:
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis à côté de la fenêtre, regardant les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite, il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace.
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis à côté [ou « près » ? Comme tu veux] de la fenêtre, regardant [bof… Il y a mieux] les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite, [sans la virgule] il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace.
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis près de la fenêtre, contemplant les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace.
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis près de la fenêtre, contemplant [« à contempler » ?] les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace.
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis près de la fenêtre, à contempler les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace
« La visite »
Je lui rends visite le lundi, le mercredi et le jeudi. Il m'attend, assis près de la fenêtre, à contempler les cimes des arbres du jardin. L'expression de son visage ne change pas lorsque j'arrive. Il me raconte qu'il est seul dans la vie, qu'il n'a personne, ensuite il baisse les yeux et ne parle plus. Je tiens sa main entre les miennes, nos alliances se frôlent pendant un instant fugace.
OK.
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