María Sergia Martín González (Espagne)
Atunes freudianos
Cada noche, el mismo sueño recurrente con la muerte visitándole en forma de atún.
Traduction temporaire :
María Sergia Martín González (Espagne)
« Thons freudiens »
Chaque nuit, le même rêve récurrent avec la mort qui lui rendait visite sous la forme de thon.
8 commentaires:
María Sergia Martín González (Espagne)
Atunes freudianos
Cada noche, el mismo sueño recurrente con la muerte visitándole en forma de atún.
Thons freudiens
Chaque nuit, le même rêve de mort récurrent venait lui rendre visite sous la forme de thon.
María Sergia Martín González (Espagne)
Atunes freudianos
Thons freudiens
Chaque nuit, le même rêve de mort récurrent venait lui rendre visite sous la forme de thon [vous avez changé ; revenez plus près de la V.O.].
María Sergia Martín González (Espagne)
Atunes freudianos
Cada noche, el mismo sueño recurrente con la muerte visitándole en forma de atún.
Thons freudiens
Chaque nuit, le même rêve récurrent avec la mort lui rendait visite sous forme de thon.
Pas besoin de remettre l'espagnol.
María Sergia Martín González (Espagne)
« Thons freudiens »
Chaque nuit, le même rêve récurrent avec la mort lui rendait [ça n'est pas le rêve qui lui rend visite] visite sous forme de thon.
María Sergia Martín González (Espagne)
« Thons freudiens »
Chaque nuit, le même rêve récurrent avec la mort qui lui rendait visite sous forme de thon.
María Sergia Martín González (Espagne)
« Thons freudiens »
Chaque nuit, le même rêve récurrent avec la mort qui lui rendait visite sous [« la » ?] forme de thon.
Pour l'instant, on restera comme ça… et après, on verra s'il faut ajouter un verbe.
María Sergia Martín González (Espagne)
« Thons freudiens »
Chaque nuit, le même rêve récurrent avec la mort qui lui rendait visite sous la forme de thon.
J'ai pensé également à ajouter un verbe. Personnellement, je trouve que se serait plus fluide.
Comme convenu, on en reparle dès que vous avez terminé.
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