vendredi 28 mars 2014

Projet Maïté 5 – phrase 9

En ocasiones, como depredadores que, con delicadeza, llevaran a su cachorro en la boca, juegan con el sexo del otro y con los dientes lo sujetan o lo abarcan hasta que la lengua obtiene respuesta y tiembla el cuerpo.

Traduction temporaire :
Parfois, tels des prédateurs portant délicatement leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et le tiennent entre leurs dents ou l’étreignent jusqu’à ce que la langue obtienne une réponse et fasse trembler le corps.

14 commentaires:

Maymay a dit…

À certaines occasions, en tant que prédateurs qui, avec délicatesse, porteraient leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et avec leurs dents ils le tiennent ou ils l’embrassent jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction et fasse trembler le corps.

Maïté

Tradabordo a dit…

À certaines occasions [simplifie], en tant que prédateurs qui, avec délicatesse, porteraient leurs petits dans leurs gueules,

Un vrai pb de syntaxe ; tu peux te dégager de l'espagnol… Essaie d'autres combinaisons.

ils jouent avec le sexe de l’autre et avec leurs dents ils le tiennent ou ils l’embrassent jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction et fasse trembler le corps.

Maymay a dit…

Parfois, tels des prédateurs qui, avec délicatesse, porteraient leurs petits dans leurs gueules,ils jouent avec le sexe de l’autre et avec leurs dents ils le tiennent ou ils l’embrassent jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction et fasse trembler le corps.

Maïté

Tradabordo a dit…

Rétablis tes espaces.

Parfois, tels des prédateurs qui, avec délicatesse, porteraient leurs petits dans leurs gueules,ils jouent avec le sexe de l’autre et avec leurs dents ils le tiennent ou ils l’embrassent jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction et fasse trembler le corps.

Maymay a dit…

Parfois, tels des prédateurs qui, avec délicatesse, porteraient leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et avec leurs dents ils le tiennent ou ils l’embrassent jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction et fasse trembler le corps.

(je crois que là, tous les espaces sont bons)
Maïté

Tradabordo a dit…

Parfois, tels des prédateurs qui, avec délicatesse [opte pour l'averbe ; ce sera sans doute plus fluide… car tu pourras enlever les virgules // fais déjà ça], porteraient leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et avec leurs dents ils le tiennent ou ils l’embrassent jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction et fasse trembler le corps.

Maymay a dit…

Parfois, tels des prédateurs qui délicatement porteraient leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et avec leurs dents ils le tiennent ou ils l’embrassent jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction et fasse trembler le corps.

Maíté

Tradabordo a dit…

Parfois, tels des prédateurs qui délicatement [mets-le après] porteraient leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et [virgule] avec leurs dents [virgule] ils le tiennent ou ils l’embrassent [FS ?] jusqu’à ce que la langue obtienne satisfaction [FS] et fasse trembler le corps.

Maymay a dit…

Parfois, tels des prédateurs qui porteraient délicatement leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et, avec leurs dents, ils le tiennent ou ils l’étreignent jusqu’à ce que la langue obtienne une réponse et fasse trembler le corps.

le premier sens de "abarcar" dans la RAE c'est: "1. tr. Ceñir algo con los brazos o con la mano." j'ai mis "étreindre" du coup car "embrasser" a peut-être trop changer de sens aujourd'hui.

Maïté

Tradabordo a dit…

Parfois, tels des prédateurs qui porteraient [ou « portant » ?] délicatement leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et, avec [débrouille-toi pour ne pas répéter le « avec »… Ça met sur le même plan deux choses qui ne le sont pas] leurs dents, ils le tiennent ou ils l’étreignent jusqu’à ce que la langue obtienne une réponse et fasse trembler le corps.

Maymay a dit…

Parfois, tels des prédateurs portant délicatement leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et, le tiennent de leurs dents ou l’étreignent jusqu’à ce que la langue obtienne une réponse et fasse trembler le corps.

Maïté

Tradabordo a dit…

Parfois, tels des prédateurs portant délicatement leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et, [pourquoi cette virgule ?] le tiennent de [« entre » ?] leurs dents ou l’étreignent jusqu’à ce que la langue obtienne une réponse et fasse trembler le corps.

Maymay a dit…

Parfois, tels des prédateurs portant délicatement leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et le tiennent entre leurs dents ou l’étreignent jusqu’à ce que la langue obtienne une réponse et fasse trembler le corps.

Maïté

Tradabordo a dit…

Parfois, tels des prédateurs portant délicatement leurs petits dans leurs gueules, ils jouent avec le sexe de l’autre et le tiennent entre leurs dents ou l’étreignent jusqu’à ce que la langue obtienne une réponse et fasse trembler le corps.

OK.