mardi 11 mars 2014

Projet Morgane 11 – phrases 9-10

La libertad, Dalila, es el único bien que no debes dejarte arrebatar, las palabras del Nonno la persiguen, agrietando con el timbre de su voz la asfixiante sensación que la aniquila. Me habían enviado a Italia al terminar la escuela primaria a fin de completar mi formación cultural y darles una alegría a los abuelos.

Traduction temporaire :
La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher ; les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parachever mon éducation culturelle et faire plaisir à mes grands-parents.

11 commentaires:

Unknown a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher, les paroles de Luigi Nono la poursuivent, lézardant de son timbre de voix l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour compléter mon éducation culturelle et faire plaisir aux grands-parents.

Tradabordo a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher, les paroles de Luigi Nono la poursuivent, lézardant [vois si ça ne serait pas fluide en plaçant le verbe après] de son timbre de voix l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour compléter [« parfaire »… Bonne idée, n'est-ce pas ? Mais ton « faire plaisir » après pose ob ;-)))))) Une solution ?] mon éducation culturelle et faire plaisir aux [?] grands-parents.

Unknown a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher, les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parfaire mon éducation culturelle et satisfaire les grands-parents.

Tradabordo a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher, [ponctuation ?] les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parfaire mon éducation culturelle et satisfaire les [possessif ?] grands-parents.

Unknown a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher ; les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parfaire mon éducation culturelle et satisfaire mes grands-parents.

Unknown a dit…

Commentaire oublié ? :-)

Tradabordo a dit…

Non, j'étais occupée avec mon anniversaire ;-)

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher ; les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parfaire mon éducation culturelle et satisfaire [je viens de relire la V.O. et ça n'est pas exactement cela ; il y a quand même le mot « alegría »] mes grands-parents.

Unknown a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher ; les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parfaire mon éducation culturelle et rendre mes grands-parents contents.

Tradabordo a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher ; les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parfaire mon éducation culturelle et rendre mes grands-parents contents.

Bon, je crois qu'on ne pourra pas contourner « faire plaisir » ; donc, malheureusement, c'est « parfaire » que tu dois changer.

Unknown a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher ; les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parachever mon éducation culturelle et faire plaisir à mes grands-parents.

Tradabordo a dit…

La liberté, Dalila, est le seul bien que tu ne dois pas te laisser arracher ; les paroles de Luigi Nono la poursuivent, son timbre de voix lézardant l'étouffante sensation qui l'anéantit. Ils m'avaient envoyé en Italie à la fin de l'école primaire pour parachever mon éducation culturelle et faire plaisir à mes grands-parents.

Parfait.