Tarde ya, me pidió que me quedara por tres semanas a vivir con ella. A fines de julio debería viajar al sur de Francia por unos días y después a Ginebra donde residiría con su esposo por un año. Me imaginé al esposo, un hombre elegante, algo mayor, de traje y corbata, trabajando en alguna oficina importante de un banco, una compañía de seguros o una embajada.
Traduction temporaire :
Alors qu'il était déjà tard, elle m'a prié de rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, puis à Genève, où elle résidait avec son mari pour un an. J'ai imaginé cet homme : élégant, un peu âgé, en costume-cravate, occupant l'un des postes les plus importants d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
Alors qu'il était déjà tard, elle m'a prié de rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, puis à Genève, où elle résidait avec son mari pour un an. J'ai imaginé cet homme : élégant, un peu âgé, en costume-cravate, occupant l'un des postes les plus importants d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
6 commentaires:
Plus tard, elle m'a proposé de rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, et à Genève, où elle résidait avec son mari cette année-là. J'ai imaginé son époux, un homme élégant, un peu âgé, en costume-cravate, travaillant dans l'un des bureaux importants d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
Plus tard [sûre ?], elle m'a proposé [j'hésite sur l'interprétation ; je ne dis pas que c'est faux…] de rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, et [ou « puis » ?] à Genève, où elle résidait avec son mari cette année-là [CS]. J'ai imaginé son époux, [ou deux points ?] un homme élégant, un peu âgé, en costume-cravate [tu as vérifié, pour le tiret ?], travaillant dans l'un des bureaux importants [naturel ?] d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
Alors qu'il était déjà tard, elle m'a prié de [j'hésite sur l'interprétation ; je ne dis pas que c'est faux…/ Oui, ce serait plutôt dans le sens de "supplier" mais je n'ose pas aller jusque là, "prier" peut-être ?] rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, puis [ou « puis » ?/Il se trouve dans la partie précédente mais on inverse, il va mieux ici] à Genève, où elle résidait avec son mari pour un an. J'ai imaginé son époux : un homme élégant, un peu âgé, en costume-cravate [tu as vérifié, pour le tiret ?/ Je ne le trouve dans aucun dictionnaire et les deux formes apparaissent sur Google…], travaillant dans l'un des bureaux les plus importants d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
Alors qu'il était déjà tard, elle m'a prié de rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, puis à Genève, où elle résidait avec son mari pour un an. J'ai imaginé son époux [« cet homme »] : un homme [supprime ici] élégant, un peu âgé, en costume-cravate [tu as vérifié, pour le tiret ?/ Je ne le trouve dans aucun dictionnaire et les deux formes apparaissent sur Google… // pas dans Le Robert ?], travaillant dans l'un des bureaux les plus importants [dis qu'il a un poste très important…] d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
Alors qu'il était déjà tard, elle m'a prié de rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, puis à Genève, où elle résidait avec son mari pour un an. J'ai imaginé cet homme : élégant, un peu âgé, en costume-cravate [tu as vérifié, pour le tiret ?/ Je ne le trouve dans aucun dictionnaire et les deux formes apparaissent sur Google… // pas dans Le Robert ?/Je n'ai plus accès au Robert :-(], occupant l'un des postes les plus importants d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
Alors qu'il était déjà tard, elle m'a prié de rester vivre avec elle trois semaines. Fin juillet, elle devait se déplacer dans le sud de la France pour quelques jours, puis à Genève, où elle résidait avec son mari pour un an. J'ai imaginé cet homme : élégant, un peu âgé, en costume-cravate, occupant l'un des postes les plus importants d'une banque, d'une compagnie d'assurance ou d'une ambassade.
Antitode l'accepte comme ça…
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