samedi 1 mars 2014

Projet Sarah – phrases 99-100

Recordó también que cuando tuvo uso de razón se dio cuenta del verdadero oficio de su madre, pero nunca le increpó nada, ni le preguntó que hacía por las noches, pues se dio cuenta que vendiendo su cuerpo era como su madre lo alimentaba, le compraba ropa y le costeaba el colegio. A él nunca le faltó nada, tuvo todo lo que un niño y un joven pudiesen desear.

Traduction temporaire :
Il se souvint également que, lorsqu'il avait atteint l'âge de raison, il avait découvert le vrai travail de sa mère, sans jamais la blâmer, ni lui demander ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, elle le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un adolescent pouvaient désirer.

7 commentaires:

Unknown a dit…

Il se souvint également que, lorsqu'il avait été en âge de raisonner, il avait pris conscience du vrai travail de sa mère, mais jamais il ne l'avait blâmée, ni demandé ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, sa mère le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un jeune pouvaient désirer.

Unknown a dit…

Il se souvint également que, lorsqu'il avait été en âge de raisonner, il avait pris conscience du vrai travail de sa mère, mais jamais il ne l'avait blâmée, ni demandé ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, sa mère le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un jeune pouvaient désirer.

Tradabordo a dit…

Il se souvint également que, lorsqu'il avait été en âge de raisonner [ça ne se dit pas comme ça], il avait pris conscience [naturel ici ?] du vrai travail de sa mère, mais [cheville « sans » ?] jamais il ne l'avait blâmée,

ni demandé ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, sa mère le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un jeune pouvaient désirer.

Unknown a dit…

Il se souvint également que, lorsqu'il avait atteint l'âge de raison, il avait découvert le vrai travail de sa mère, sans jamais la blâmer, ni demander ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, sa mère le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un jeune pouvaient désirer.

Tradabordo a dit…

Il se souvint également que, lorsqu'il avait atteint l'âge de raison, il avait découvert le vrai travail de sa mère, sans jamais la blâmer, ni [« lui »] demander ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, sa mère [« elle » ?] le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un jeune [mal dit] pouvaient désirer.

Unknown a dit…

Il se souvint également que, lorsqu'il avait atteint l'âge de raison, il avait découvert le vrai travail de sa mère, sans jamais la blâmer, ni lui demander ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, elle le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un adolescent pouvaient désirer.

Tradabordo a dit…

Il se souvint également que, lorsqu'il avait atteint l'âge de raison, il avait découvert le vrai travail de sa mère, sans jamais la blâmer, ni lui demander ce qu'elle faisait la nuit, car il s'était rendu compte qu'en vendant son corps, elle le nourrissait, lui achetait des vêtements et lui payait ses études. Il n'avait jamais manqué de rien, avait disposé de tout ce qu'un enfant et un adolescent pouvaient désirer.

OK.