(Personne) qui flatte bassement quelqu'un, qui a pour habitude de flagorner.
"On a vu Rouland, l'ancien ministre de la justice et des cultes, (...) jouer le rôle d'un impresario grotesque et flagorneur, faisant le polichinelle avec un zèle et un flot de bas comique" (GONCOURT, Journal, 1866, p. 306).
"J'aperçus une dame blonde au milieu d'un cercle de stupides flagorneurs" (MILOSZ, Amour. initiation, 1910, p. 50).
- Flagorneur de + subst. "Je n'échangerais pas ma rêverie solitaire contre le tréteau d'un flagorneur de la populace" (BLOY, Femme pauvre, 1897, p. 86) :
FLAGORNEUR : Subst. et adj. (Personne) qui flatte bassement quelqu'un, qui a pour habitude de flagorner.
Flagorneur de + subst. Je n'échangerais pas ma rêverie solitaire contre le tréteau d'un flagorneur de la populace (BLOY, Femme pauvre, 1897, p. 86)
Adj. [En parlant d'une attitude, d'un acte] Empreint de flagornerie. Rroû se lève et réclame son dû. Pas d'un miaulement, pas même d'un ronron flagorneur (GENEVOIX, Rroû, 1931, p. 60)
2 commentaires:
FLAGORNEUR, EUSE, subst. et adj.
(Personne) qui flatte bassement quelqu'un, qui a pour habitude de flagorner.
"On a vu Rouland, l'ancien ministre de la justice et des cultes, (...) jouer le rôle d'un impresario grotesque et flagorneur, faisant le polichinelle avec un zèle et un flot de bas comique" (GONCOURT, Journal, 1866, p. 306).
"J'aperçus une dame blonde au milieu d'un cercle de stupides flagorneurs" (MILOSZ, Amour. initiation, 1910, p. 50).
- Flagorneur de + subst.
"Je n'échangerais pas ma rêverie solitaire contre le tréteau d'un flagorneur de la populace" (BLOY, Femme pauvre, 1897, p. 86) :
FLAGORNEUR : Subst. et adj. (Personne) qui flatte bassement quelqu'un, qui a pour habitude de flagorner.
Flagorneur de + subst. Je n'échangerais pas ma rêverie solitaire contre le tréteau d'un flagorneur de la populace (BLOY, Femme pauvre, 1897, p. 86)
Adj. [En parlant d'une attitude, d'un acte] Empreint de flagornerie. Rroû se lève et réclame son dû. Pas d'un miaulement, pas même d'un ronron flagorneur (GENEVOIX, Rroû, 1931, p. 60)
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