Nada es arbitrario, Dvorak compuso esa novena sinfonía para celebrar su llegada a Nueva York; abandonó Checoslovaquia y pese a que yo la he escuchado menos veces que copas de vino rosado he tomado en mi vida, sigo entrando en la gran manzana y la Estatua de la Libertad esclaviza mis imágenes.
Traduction temporaire :
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et, bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine mes images.
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et, bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine mes images.
8 commentaires:
Je ne comprends pas le rapport entre les 2 premières phrases. Mais bon, j'ai laissé la virgule quand même.
Je me suis permise de mettre des majuscules à "Grosse Pomme". En français, ça me choque sans.
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine mes images.
Je relis et la fin ne me semble pas naturelle. Je change ;)! Au risque de m'éloigner.
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre à chaque fois dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté s'impose à moi.
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et [virgule] bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre à chaque fois [pas de raison de changer ici ; reviens à la V.O.] dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté s'impose à moi [idem].
Alors je te repropose la 1ère version ;).
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et, bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine mes images.
Ah tu sais, parfois, il faut bien des tergiversations pour arriver à la solution, qui n'était autre que la première… mais au moins, on assume pleinement ;-)
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et, bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine [ou « réduit mes images en esclavage » ou « soumet » ? Comme tu veux] mes images.
J'assume tout ;)! Mais je râle un peu quand même car pour la 1ère fois, j'aurais pu proposer une version correcte du 1er coup!
Je crois que je préfèrerais "domine" car "réduit mes images en esclavage" me semble un peu lourd et la phrase est déjà assez longue. Quant à "soumet", je ne trouve pas ça top niveau sonorité "soumet mes".
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et, bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine mes images.
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et, bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine mes images.
OK.
Rien n'est arbitraire, Dvorak composa cette neuvième symphonie pour fêter son arrivée à New-York ; il avait quitté la Tchécoslovaquie et, bien que je l'aie écoutée moins de fois que le nombre de verres de rosé que j'ai bus dans ma vie, je rentre toujours dans la Grosse Pomme et la Statue de la Liberté domine mes images.
OK.
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