lundi 25 novembre 2013

Projet Céline – phrase 111


Claro que la ayudo a bajar todas las maletas, claro que bajó a los dos más pequeños hijos, y la bambina hasta lo besó e hizo que la mamma se riera gloriosamente para mostrar su rubor que estallaba en sus ojos y en sus labios entreabiertos, en el rumor de la muchedumbre que llegaba y la muchedumbre que esperaba en la estación a los viajeros, él se dio cuenta cuando ya iba él, el mismo, parecía mentira, parecía sueño, parecía una sacrosanta maldición empujando el carrito de las maletas y ella lo seguirá dócil y lo miraba lo miraba directamente a los ojos y en un momento, en realidad él no podía estar seguro de lo que ella pretendía, le tocó la mano que empujaba el carrito, pero como él no la soltaba, como que comenzó a cogerle el brazo, sin hablar, solo respirando fuerte, pero mirándolo, él se detuvo y la quedó mirando, mientras los niños pequeños se agarraban a sus faldas y los mayores iban delante, cogidos de la mano, conociendo ya la salida.

Traduction temporaire :
Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte en s’éloignant à son tour. Cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée tandis qu’il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement ; elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle lui toucha la main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, juste en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, pendant que les petits tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

17 commentaires:

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes les valises, il fit descendre les deux cadets, et la bambina était même allée jusqu’à l’embrasser, ce qui avait provoqué les rires joyeux de la mamma, faisant naître un rougissement qui ressortait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il se rendit compte quand il s’y trouva que cela paraissait irréel, comme un rêve, que cela semblait être une malédiction sacrée, tout en poussant le chariot sur lequel étaient posées les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes les [possessif ?] valises, il fit descendre [trouve un synonyme ; enfin, essaie… ;-)] les deux cadets, et la bambina était même allée [nécessaire ?] jusqu’à l’embrasser, ce qui avait provoqué [gérondif ?] les rires joyeux de la mamma, faisant [et ici avec « qui »] naître un rougissement

qui ressortait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ;

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’avait même l’embrassé, provoquant les rires joyeux de la mamma et faisant naître un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il se rendit compte quand il s’y trouva que cela paraissait irréel, comme un rêve, que cela semblait être une malédiction sacrée, tout en poussant le chariot sur lequel étaient posées les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’avait même l’embrassé, provoquant les rires joyeux de la mamma et faisant naître [« causant » ?] un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ;

il se [« s'en »] rendit compte quand il s’y trouva [pour « iba » ?] que cela paraissait irréel, comme un rêve, que cela semblait être une malédiction sacrée, tout en poussant le chariot sur lequel étaient posées les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ;

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’avait même l’embrassé, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloigna, cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée. Il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’avait même l’embrassé [au fait, un doute : PQP ou PS ?], provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloigna [imparfait en V.O.], cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée. Il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’avait même l’embrassé [au fait, un doute : PQP ou PS ?], provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloigna [imparfait en V.O.], cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée. Il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloignait, cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée. Il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloignait, [« el mismo » ?] [ponctuation ?] cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée.

Il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloignait, lui-même. Cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée tandis qu’il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloignait, [supp de cette virgule ?] lui-même [ou « à son tour » ? Comme tu veux…].

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloignait à son tour. Cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée tandis qu’il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte quand il s’éloignait [gérondif ?] à son tour.

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte en s’éloignant à son tour. Cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée tandis qu’il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que les enfants en bas âge tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte en s’éloignant à son tour. Cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée tandis qu’il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement et [point-virgule ?] elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle [pas mieux avec « lui » ? Essaie et dis-moi…] toucha sa main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, seulement [« juste » ?] en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, tandis que [on ne l'a pas déjà avant ? Le cas échéant, vois s'il est possible de trouver une autre solution…] les enfants en bas âge [peu naturel ici] tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Unknown a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte en s’éloignant à son tour. Cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée tandis qu’il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement ; elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle lui toucha la main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, juste en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, pendant que les petits tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

Tradabordo a dit…

Bien sûr, il l’aida à descendre toutes leurs valises, il fit sortir les deux cadets, et la bambina l’embrassa même, provoquant les rires joyeux de la mamma et causant un rougissement qui se reflétait dans ses yeux et sur ses lèvres entrouvertes, dans la rumeur de la foule qui arrivait et de la foule qui attendait les voyageurs en gare ; il s'en rendit compte en s’éloignant à son tour. Cela paraissait irréel, comme un rêve, cela semblait être une malédiction sacrée tandis qu’il poussait le chariot avec les valises, et elle, elle le suivra docilement ; elle le regardait, elle le regardait droit dans les yeux et à un moment – en réalité il ne pouvait être sûr de ses intentions – elle lui toucha la main qui poussait le chariot, et comme il ne l’écartait pas, elle commença à lui prendre le bras, sans parler, juste en respirant fort, en le regardant ; alors il s’arrêta et planta ses yeux dans les siens, pendant que les petits tiraient sur sa jupe et que les grands marchaient devant, main dans la main, connaissant déjà la sortie.

OK.