samedi 30 novembre 2013

Projet Morgane – phrases 89-90

Tomándola de los hombros con ternura, Mauro vio la misma calle desolada que su esposa. Los vestidos, en el tendedero de enfrente, danzaban algún caprichoso himno tocado por el viento.

Traduction temporaire :
La prenant par les épaules avec tendresse, Mauro vit la même rue désolée que son épouse. Sur l'étendoir d'en face, les vêtements dansaient sur un capricieux hymne joué par le vent.

5 commentaires:

Unknown a dit…

La prenant par les épaules avec tendresse, Mauro vit la même rue ravagée que son épouse. Sur l'étendoir d'en face, les vêtements dansaient sur un capricieux hymne joué par le vent.

Tradabordo a dit…

La prenant par les épaules avec tendresse, Mauro vit la même rue ravagée [trop fort / V.O.] que son épouse. Sur l'étendoir d'en face, les vêtements dansaient sur un capricieux hymne joué par le vent.

Unknown a dit…

La prenant par les épaules avec tendresse, Mauro vit la même rue désolée que son épouse. Sur l'étendoir d'en face, les vêtements dansaient sur un capricieux hymne joué par le vent.

Unknown a dit…

La prenant par les épaules avec tendresse, Mauro vit la même rue désolée que son épouse. Sur l'étendoir d'en face, les vêtements dansaient sur un capricieux hymne joué par le vent.

Tradabordo a dit…

La prenant par les épaules avec tendresse, Mauro vit la même rue désolée que son épouse. Sur l'étendoir d'en face, les vêtements dansaient sur un capricieux hymne joué par le vent.

OK.