lundi 25 novembre 2013

Projet Justine / Manon – phrase 23

Empezaron a soñar con parajes lejanos en donde las ramas se adormecían al contacto de la mano y las flores devoraban insectos para chuparles la sangre sin que ellos pudieran hacer nada distinto de engarrotarse, encogerse, volverse un ovillo y disecarse muriendo arrullados en las corolas aterciopeladas.

Traduction temporaire :
Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisant pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre option que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se dessécher, mourant bercés par les corolles de velours.

9 commentaires:

Justine a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main suffisait à endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre choix que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se disséquer en mourant bercés par les corolles veloutées.

Tradabordo a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main suffisait à [ou « était suffisant pour » ? J'hésite beaucoup… donc faites comme vous voulez] endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre choix que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se disséquer en [virgule + suppression du « en »] mourant bercés par les corolles veloutées [FS ?].

Justine a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisant pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre choix que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se disséquer, mourant bercés par les corolles de velours.

Tradabordo a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisait pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre choix [« option » ?] que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se disséquer [vérifie quand même le sens], mourant bercés par les corolles de velours.

Justine a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisait pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre option que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et s'empailler,(mais du coup, on laisse le pronominal ?) mourant bercés par les corolles de velours.

Tradabordo a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisant pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre option que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et s'empailler [« dessécher » ? Vérifie], (mais du coup, on laisse le pronominal ?) mourant bercés par les corolles de velours.

Justine a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisant pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre option que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se dessécher, mourant bercés par les corolles de velours.

Tradabordo a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisant pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre option que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se dessécher, mourant bercés par les corolles de velours.

Manon, ton avis ?
J'attends pour mettre la suite.

Unknown a dit…

Ils se mirent à rêver de contrées lointaines où un simple contact de la main était suffisant pour endormir les branches, où les fleurs dévoraient des insectes dont elles suçaient le sang sans leur laisser d’autre option que de s’engourdir, se contracter, se pelotonner et se dessécher, mourant bercés par les corolles de velours.

Ok !