De vez en cuando paraba las antenas mientras se miraba las vestimentas pálidas, de un raso fino, casi transparente y escondía las paticas débiles para no aparecer aterrorizado, sino más bien como etéreo. Creía que tener a la humanidad despierta no era poca cosa.
Traduction temporaire :
De temps en temps, il immobilisait ses antennes, les yeux fixés sur ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et il cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
De temps en temps, il immobilisait ses antennes, les yeux fixés sur ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et il cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
7 commentaires:
De temps en temps, il figeait ses antennes tout en regardant ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais plutôt éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
De temps en temps, il figeait [bizarrement construit, non ?] ses antennes [virgule ? J'hésite…] tout en regardant ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et [« il » ?] cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais plutôt [nécessaire ?] éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
De temps en temps, il immobilisait ses antennes, tout en regardant ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et il cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
De temps en temps, il immobilisait ses antennes, tout en regardant [« les yeux fixés sur » ?] ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et il cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
De temps en temps, il immobilisait ses antennes, les yeux fixés sur ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et il cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
De temps en temps, il immobilisait ses antennes, les yeux fixés sur ses vêtements pâles, en satin fin, presque transparent, et il cachait ses petites pattes fragiles pour ne pas avoir l'air terrorisé, mais éthéré. Tenir l’humanité éveillée n’était pas une mince affaire, pensait-il.
OK.
Manon ?
Ok !
Enregistrer un commentaire