samedi 21 décembre 2013

Projet Sabrina 2 – phrase 26

Se los entregué y al volver a ponérmelos, aprecié mejor sus músculos de bronce y sensibilidad para tratar con los cristales que son como mi piel; a veces soy yo la que termino reflejando al espejo y me siento más ensamblada por silicio que por carbón, además, de que siempre he vivido en una urna.

Traduction temporaire :
Je les lui tendis et lorsque je les remis sur mon nez, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens constituée davantage de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une urne en verre.

10 commentaires:

Sabrina a dit…

Je les lui donnai et lorsque je les remis, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres qui sont comme ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens faite davantage de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une vitrine.

Tradabordo a dit…

Je les lui donnai [« tendis » ?] et lorsque je les remis, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres [virgule] qui sont comme [avec un simple adjectif ?] ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens faite davantage de [manque de naturel… Reprends] silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une vitrine.

Sabrina a dit…

Super "tendis"! Je trouvais "donnai" un peu simple mais je n'avais pas mieux. Merci!

Je les lui tendis et lorsque je les remis, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens davantage constituée de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une vitrine.

Tradabordo a dit…

Je les lui tendis et lorsque je les remis [cheville : « sur mon nez » ou inutile ?], j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens davantage constituée [mets-le avant… Je pense que ça te permettra d'être plus fluide] de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une vitrine.

Sabrina a dit…

Ah oui, c'est bien aussi avec "sur mon nez".

Je les lui tendis et lorsque je les remis sur mon nez, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens constituée davantage de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une vitrine.

Tradabordo a dit…

Je les lui tendis et lorsque je les remis sur mon nez, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens constituée davantage de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une vitrine [au fait : sûre ? La suite te le confirme ? Moi, je ne souviens pas].

Sabrina a dit…

Je me suis dit qu'elle faisait référence à la tour en verre dans laquelle elle a son bureau à NYC. D'où la comparaison avec une vitrine... Mais peut-être pourrait-on mettre "boîte en verre"... On garderait ainsi plus l'idée d'urne.

Je les lui tendis et lorsque je les remis sur mon nez, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens constituée davantage de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une boîte en verre.

Tradabordo a dit…

Et pourquoi ne pas aller jusqu'au bout : « urne en verre » ?

Sabrina a dit…

Va pour une "urne en verre"!

Je les lui tendis et lorsque je les remis sur mon nez, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens constituée davantage de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une urne en verre.

Tradabordo a dit…

Je les lui tendis et lorsque je les remis sur mon nez, j'appréciai mieux ses muscles en bronze et la douceur avec laquelle il s'occupait des vitres, semblables à ma peau ; parfois, c'est moi qui finis par réfléchir le miroir et je me sens constituée davantage de silicium que de charbon, sans compter que j'ai toujours vécu dans une urne en verre.

OK.