lundi 30 décembre 2013

Projet Elena 6 – phrases 260-276

Las calles todas iguales, sin belleza, sin historia, sin personalidad. Este pisito con sus ventanas que dan a paredes de ladrillo. Mi trabajo. La estantería, el televisor, el cielo. La vida. Todo gris. Me eché en un sofá con la mirada perdida. No comí.

Traduction temporaire :
Les rues sont toutes semblables, sans charme, sans histoire, sans personnalité. Ce petit appartement avec ses fenêtres qui donnent sur des murs en brique. Mon travail. L'étagère, la télé, le ciel. La vie. Tout est gris. Je m’affalai dans un canapé, le regard perdu. Je ne mangeai pas.

4 commentaires:

Elena a dit…

Les rues sont toutes semblables, sans charme, sans histoire, sans personnalité. Ce petit appartement avec ses fenêtres qui donnent vers des murs en brique. Mon travail, la télé, le ciel. La vie. Tout est gris. Je m’affalai sur un canapé, le regard perdu. Je ne mangeai pas.

Tradabordo a dit…

Les rues sont toutes semblables, sans charme, sans histoire, sans personnalité. Ce petit appartement avec ses fenêtres qui donnent vers [« sur »] des murs en brique. Mon travail, [point ; mettons la même ponctuation qu'en V.O.] la télé, le ciel. La vie. Tout est gris. Je m’affalai sur [« dans » ?] un canapé, le regard perdu. Je ne mangeai pas.

Elena a dit…

Les rues sont toutes semblables, sans charme, sans histoire, sans personnalité. Ce petit appartement avec ses fenêtres qui donnent sur des murs en brique. Mon travail. L'étagère, la télé, le ciel. La vie. Tout est gris. Je m’affalai dans un canapé, le regard perdu. Je ne mangeai pas.

Tradabordo a dit…

Les rues sont toutes semblables, sans charme, sans histoire, sans personnalité. Ce petit appartement avec ses fenêtres qui donnent sur des murs en brique. Mon travail. L'étagère, la télé, le ciel. La vie. Tout est gris. Je m’affalai dans un canapé, le regard perdu. Je ne mangeai pas.

OK.