samedi 28 décembre 2013

Projet Céline – phrases 114-115

¿Va vero? dijo ella, ¿qué cosa? dijo él. Lo del treno, lo del treno equivocado, dijo ella y le franquedó la mirada, le acercó la cara como si el debiera besársela de todas maneras, teniendo como testigos la muchedumbre que zumbaba alrededor, las maletas novísimas que él iba empujando, los niños que iban delante de ellos, los niños apegaban a sus faldas y que ahora ella había cogido en los brazos, teniendo su cara resplandeciente, mas burlona que ansiosa entre esas fatales criaturas.

Traduction temporaire :
Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage, comme si de toute manière, il devait l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait autour, les valises toutes neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant eux, les enfants, qu'elle avait à présent pris dans ses bras, accrochés à ses jupes ; elle avait un visage resplendissant, était davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle lui dirigea un regard, elle s’approcha de son visage comme s’il devait de toutes les manières l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait tout autour, les valises neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant ; les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Tradabordo a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle lui dirigea [mal dit] un regard, elle [nécessaire ?] s’approcha de son visage [CS ?] comme s’il devait de toutes les manières l’embrasser,

ayant pour témoins la foule qui bourdonnait tout autour, les valises neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant ; les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Unknown a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage de lui comme s’il devait de toutes les manières l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait tout autour, les valises neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant ; les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Tradabordo a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage de lui [il est bien dit « LE acercó… » ; est-ce que ça ne change pas le sens ?]

comme s’il devait de toutes les manières l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait tout autour, les valises neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant ; les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Unknown a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, lui approcha le visage, comme s’il devait de toutes les manières l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait tout autour, les valises neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant ; les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Tradabordo a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, lui approcha le visage [ou « approcha son visage » ou ambigu ?], comme s’il devait de toutes les manières [ou avant ?] l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait tout [nécessaire ?] autour, les valises neuves [on ne perd pas la nuance] qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant [« eux » ?] ;

les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Unknown a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage, comme si de toute manière, il devait l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait autour, les valises toutes neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant eux ; les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Tradabordo a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage, comme si de toute manière, il devait l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait autour, les valises toutes neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant eux ; [j'hésite pour le point-virgule – la suite de l'énumération ou une précision sur les enfants mentionnés avant… Je te laisse reprendre et refaire le chemin dans la jungle de ta belle phrase ;-)] les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Unknown a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage, comme si de toute manière, il devait l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait autour, les valises toutes neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant eux, les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras, avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Tradabordo a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage, comme si de toute manière, il devait l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait autour, les valises toutes neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant eux, les enfants accrochés à ses jupes qu’elle avait à présent pris dans ses bras [ambigu / les enfants ou les jupes ?], avec ce visage resplendissant, davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Unknown a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage, comme si de toute manière, il devait l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait autour, les valises toutes neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant eux, les enfants, qu'elle avait à présent pris dans ses bras, accrochés à ses jupes ; elle avait un visage resplendissant, était davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

Tradabordo a dit…

Va vero ? demanda-t-elle. Quoi ? répondit-il. Pour le train, le mauvais train, dit-elle, et elle le regarda, approcha son visage, comme si de toute manière, il devait l’embrasser, ayant pour témoins la foule qui bourdonnait autour, les valises toutes neuves qu’il poussait, les enfants qui marchaient devant eux, les enfants, qu'elle avait à présent pris dans ses bras, accrochés à ses jupes ; elle avait un visage resplendissant, était davantage rieuse qu’anxieuse en compagnie de ces terribles petits.

OK.