dimanche 9 février 2014

Projet Céline – phrase 118


Suspiró hondamente, pero sólo para aliviarse del cansancio físico, de bajar las maletas de las parrillas, de bajarlas del tren, de echarlas en el carrito y empujar todo eso, todo eso que pensaba mucho más ahora, ahora que se daba cuenta de que si ella bella donna, por casualidad, por una maldita y asombrosa casualidad hubiera venido en el tren sola, el afán y la necesidad de irse de él habría terminado ahí, en la estación de Roma, en la cual había estado muchas veces mientras residió hasta tres semanas en la ciudad, había siete años.

Traduction temporaire :
Il soupira profondément, mais seulement pour alléger sa fatigue physique après avoir descendu les valises des porte-bagages, les avoir descendues du train, les avoir mises sur le chariot et avoir poussé le tout, tout ce à quoi il pensait bien davantage maintenant, maintenant qu’il se rendait compte que si, par hasard, par un maudit et étonnant hasard, la bella donna était venue seule dans le train, son désir et son besoin de s’éloigner de lui aurait pris fin là, dans la gare de Rome, où il était souvent allé quand il avait vécu trois semaines dans la ville, sept ans plus tôt.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Il soupira profondément, mais seulement pour alléger sa fatigue physique d’avoir descendu les valises des porte-bagages, de les avoir descendues du train, de les avoir mises dans le chariot et d’avoir poussé tout cela, tout ce à quoi il pensait beaucoup plus maintenant, maintenant qu’il se rendait compte que si, par hasard, par un maudit et étonnant hasard, cette bella donna était venue seule dans le train, son désir et son besoin de s’éloigner de lui aurait pris fin là, dans la gare de Rome, dans laquelle il était souvent allé quand il avait vécu jusqu’à trois semaines dans la ville, sept ans plus tôt.

Tradabordo a dit…

Il soupira profondément, mais seulement pour alléger sa fatigue physique d’[ou « après » ? J'hésite]avoir descendu les valises des porte-bagages, de les avoir descendues du train, de les avoir mises dans [« sur » ?] le chariot et d’avoir poussé tout cela [ou : « le tout » ?], tout ce à quoi il pensait beaucoup plus maintenant,

Unknown a dit…

Il soupira profondément, mais seulement pour alléger sa fatigue physique après avoir descendu les valises des porte-bagages, les avoir descendues du train, les avoir mises sur le chariot et avoir poussé le tout, tout ce à quoi il pensait beaucoup plus maintenant, maintenant qu’il se rendait compte que si, par hasard, par un maudit et étonnant hasard, cette bella donna était venue seule dans le train, son désir et son besoin de s’éloigner de lui aurait pris fin là, dans la gare de Rome, dans laquelle il était souvent allé quand il avait vécu jusqu’à trois semaines dans la ville, sept ans plus tôt.

Tradabordo a dit…

Il soupira profondément, mais seulement pour alléger sa fatigue physique après avoir descendu les valises des porte-bagages, les avoir descendues du train, les avoir mises sur le chariot et avoir poussé le tout, tout ce à quoi il pensait beaucoup plus [« bien davantage » ?] maintenant, maintenant qu’il se rendait compte que si, par hasard, par un maudit et étonnant hasard, cette [ou « la » ?] bella donna était venue seule dans le train, son désir et son besoin de s’éloigner de lui aurait pris fin là, dans la gare de Rome, dans laquelle [« où » ?] il était souvent allé quand il avait vécu jusqu’à [naturel ?] trois semaines dans la ville, sept ans plus tôt.

Unknown a dit…

Il soupira profondément, mais seulement pour alléger sa fatigue physique après avoir descendu les valises des porte-bagages, les avoir descendues du train, les avoir mises sur le chariot et avoir poussé le tout, tout ce à quoi il pensait bien davantage maintenant, maintenant qu’il se rendait compte que si, par hasard, par un maudit et étonnant hasard, la bella donna était venue seule dans le train, son désir et son besoin de s’éloigner de lui aurait pris fin là, dans la gare de Rome, où il était souvent allé quand il avait vécu trois semaines dans la ville, sept ans plus tôt.

Tradabordo a dit…

Il soupira profondément, mais seulement pour alléger sa fatigue physique après avoir descendu les valises des porte-bagages, les avoir descendues du train, les avoir mises sur le chariot et avoir poussé le tout, tout ce à quoi il pensait bien davantage maintenant, maintenant qu’il se rendait compte que si, par hasard, par un maudit et étonnant hasard, la bella donna était venue seule dans le train, son désir et son besoin de s’éloigner de lui aurait pris fin là, dans la gare de Rome, où il était souvent allé quand il avait vécu trois semaines dans la ville, sept ans plus tôt.

OK.