mardi 18 février 2014

Projet Nadia / Élise – phrase 129

Ya a esas alturas, la Zurda —que algunos a ratos llamaban Irina, pues en el fragor de la pasión pedía una y otra vez que murmuraran su nombre al oído— había ido cobrando dimensiones babilónicas.

Traduction temporaire :
À ce stade, la Gauchère – que certains appelaient parfois Irina, vu que, dans le grondement de la passion, elle ne cessait de demander qu’on lui murmure son prénom à l’oreille – avait pris des dimensions babyloniennes.

7 commentaires:

Unknown a dit…

À ce stade, la Gauchère — que certains appelaient parfois Irina car, dans le grondement de la passion, elle ne cessait de demander qu’on lui murmure son prénom à l’oreille — avait pris une dimension babylonienne.

Tradabordo a dit…

À ce stade, la Gauchère — [les tirets moyens] que certains appelaient parfois Irina car [« , vu que »], dans le grondement de la passion, elle ne cessait de demander qu’on lui murmure son prénom à l’oreille — avait pris une dimension babylonienne [au pluriel, comme en V.O. ?].

Unknown a dit…

À ce stade, la Gauchère – que certains appelaient parfois Irina vu que, dans le grondement de la passion, elle ne cessait de demander qu’on lui murmure son prénom à l’oreille – avait pris des dimensions babyloniennes.

Tradabordo a dit…

À ce stade, la Gauchère – que certains appelaient parfois Irina [virgule] vu que, dans le grondement de la passion, elle ne cessait de demander qu’on lui murmure son prénom à l’oreille – avait pris des dimensions babyloniennes.

Unknown a dit…

À ce stade, la Gauchère – que certains appelaient parfois Irina, vu que, dans le grondement de la passion, elle ne cessait de demander qu’on lui murmure son prénom à l’oreille – avait pris des dimensions babyloniennes.

Tradabordo a dit…

À ce stade, la Gauchère – que certains appelaient parfois Irina, vu que, dans le grondement de la passion, elle ne cessait de demander qu’on lui murmure son prénom à l’oreille – avait pris des dimensions babyloniennes.

OK.

Nadia ?

Unknown a dit…

ok