Carta a papá querido
“-María Chucena, ¿qué estás techando?
-No estoy techando mi choza, ni la choza ajena.
Estoy techando la choza de María Chucena”.
Trabalenguas popular
Leyó:
“Papá querido:”, en el comienzo de esa extraña carta sin fecha, en el papel amarillento, con la letra igual que pequeños obreros de los ingenios, con íes con puntos como sombreros, con íes como hongos,
Traduction temporaire :
Elle lut : « Mon cher père, » au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, une écriture semblable à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher père »
« - María Chutena, pourquoi construis-tu un toit ?
- Je ne construis pas le toit de ma hutte, ni le toit d'une autre hutte. Je battis le toit de la hutte de María Chutena".
Virelangue populaire.
Elle lut : « Mon cher père, » au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, une écriture semblable à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
14 commentaires:
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher papa »
" - María Chucena, ¿qué estás techando?
- No estoy techando mi choza, ni la choza ajena. Estoy techando la choza de María Chucena". Virelangue populaire argentin [ ici je ne suis pas sûre : est-ce qu'il faut vraiment le laisser ? On ne peut pas le traduire...]
Elle lut : “Mon cher père,” au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, des lettres semblables à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher papa »
" - María Chucena, ¿qué estás techando?
- No estoy techando mi choza, ni la choza ajena. Estoy techando la choza de María Chucena". Virelangue populaire argentin [ici je ne suis pas sûre : est-ce qu'il faut vraiment le laisser ? On ne peut pas le traduire...]
Pourquoi tu ne traduis pas tout ?
Elle lut : “Mon cher père,” au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, des lettres semblables à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
" - María Chucena, pourquoi construis-tu un toit ?
- Je ne fais pas le toit de ma hutte, ni celui d'une autre. Je battis le toit de la hutte de María Chucena". Virelangue populaire argentin. [en français, on perd le virelangue : on ne peut pas le traduire comme ça ? c'est gênant de l'enlever ?]
Elle lut : “Mon cher père,” au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, des lettres semblables à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
Remets le titre, etc.
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher père »
" - María Chucena, pourquoi construis-tu un toit ?
- Je ne fais pas le toit de ma hutte, ni celui d'une autre. Je battis le toit de la hutte de María Chucena". Virelangue populaire argentin. [en français, on perd le virelangue : on ne peut pas le traduire comme ça ? c'est gênant de l'enlever ?]
Elle lut : “Mon cher père,” au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, des lettres semblables à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher père »
« - María Chucena, pourquoi construis-tu un toit ?
- Je ne fais pas le toit de ma hutte, ni celui d'une autre. Je battis le toit de la hutte de María Chucena".
Virelangue populaire argentin. [en français, on perd le virelangue : on ne peut pas le traduire comme ça ? c'est gênant de l'enlever ? JE NE COMPRENDS PAS TA QUESTION]
Elle lut : “ [guillemets français]Mon cher père,” au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, des lettres [« écriture » ?] semblables à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher père »
« - María Chucena, pourquoi construis-tu un toit ?
- Je ne fais pas le toit de ma hutte, ni celui d'une autre. Je battis le toit de la hutte de María Chucena".
Virelangue populaire argentin. [JE NE COMPRENDS PAS TA QUESTION / c'est un trabalenguas : c'est comme si on voulait traduire en espagnol "les chaussettes de l'archiduchesse sont-elles sèches..." ou "un chasseur sachant chasser sans son chien..." D'où ma question : est-il possible de le traduire ?]
Elle lut : « Mon cher père, » au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, une écriture semblable à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
À mon avis, oui… Tu ne crois pas ?
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher père »
« - María Chutena, pourquoi construis-tu un toit ?
- Je ne construis pas le toit de ma hutte, ni le toit d'une autre hutte. Je battis le toit de la hutte de María Chutena".
Virelangue populaire.
[avec une allitération en "t"?]
Elle lut : « Mon cher père, » au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, une écriture semblable à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
Je trouve ta solution bonne.
Le reste est bon ?
Oui… Remets la bonne solution bien propre pour le copier / coller.
Patricia Suárez (Argentine)
« Lettre à mon cher père »
« - María Chutena, pourquoi construis-tu un toit ?
- Je ne construis pas le toit de ma hutte, ni le toit d'une autre hutte. Je battis le toit de la hutte de María Chutena".
Virelangue populaire.
Elle lut : « Mon cher père, » au début de cette étrange lettre non datée, sur le papier jauni, une écriture semblable à des petits ouvriers agricoles, les points des ‘i’ tels des chapeaux, des ‘i’ comme des champignons,
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