vendredi 4 octobre 2013

Projet Céline – phrase 94

Ella se estaba mirando las manos, sus manos ahora, miró el reloj y miró la mano de él, para buscar no tanto la pulsera del reloj y sin comparar la hora y si era tarde, volver a suspirar y si era temprano, volver a sonreír sino para darse cuenta de si él era casado, es decir si llevaba la alianza que lo había atado para siempre no hacía muchos años.

Traduction temporaire :
Elle était en train de se regarder les mains, ses propres mains à présent ; elle regarda sa montre à lui, puis sa main, pas tant pour chercher le cadran et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un quelques années auparavant seulement.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Je n’avais pas vu que le « sin » de « sin comparar la hora » était barré dans le texte, donc il ne faut pas en tenir compte.

Elle était en train de se regarder les mains, ses mains, et à présent, elle regarda la montre puis sa main à lui, pas tant pour chercher le bracelet de la montre et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il y a quelques années.

Tradabordo a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses mains, et à présent, elle regarda la montre [celle de qui ?] puis sa main à lui, pas tant pour chercher le bracelet de la montre et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il y a quelques années.

Unknown a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses mains, et à présent, elle regarda sa montre à lui puis sa main, pas tant pour chercher le bracelet de la montre et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il y a quelques années.

Tradabordo a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses mains, [tu crois vraiment qu'il y avait une erreur dans le manuscrit sur le place de la virgule ?] et à présent, elle regarda sa montre à lui puis sa main, pas tant pour chercher le bracelet de la montre et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il y a quelques années.

Unknown a dit…

Peut-être pas, effectivement.

Elle était en train de se regarder les mains, ses mains à présent ; elle regarda sa montre à lui, puis sa main, pas tant pour chercher le bracelet de la montre et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il y a quelques années.

Tradabordo a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses [« propres » ?] mains à présent ; elle regarda sa montre à lui, puis sa main, pas tant pour chercher le bracelet de la montre [est-ce qu'on ne devrait pas tricher un peu en mettant « cadran » ?] et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il y a quelques [FS] années.

Unknown a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses propres mains à présent ; elle regarda sa montre à lui, puis sa main, pas tant pour chercher le cadran et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il n’y a pas si longtemps.

Tradabordo a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses propres mains à présent ; elle regarda sa montre à lui, puis sa main, pas tant pour chercher le cadran et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un il n’y a pas si longtemps [« quelques années auparavant seulement » ?].

Unknown a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses propres mains à présent ; elle regarda sa montre à lui, puis sa main, pas tant pour chercher le cadran et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un quelques années auparavant seulement.

Tradabordo a dit…

Elle était en train de se regarder les mains, ses propres mains à présent ; elle regarda sa montre à lui, puis sa main, pas tant pour chercher le cadran et comparer l’heure – et, s’il était tard, soupirer de nouveau et, s’il était tôt, sourire de nouveau – que pour savoir s’il était marié, c’est-à-dire s’il portait l’alliance qui l’avait attaché pour toujours à quelqu’un quelques années auparavant seulement.

OK.