Pocos, un puñado apenas, serán los que logren envejecer con estilo; otros, contados, ostentarán cierto decoro: los más despertarán un día cualquiera abotagados y conscientes de su existencia miserable.
Traduction temporaire :
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; la plupart se réveilleront un jour, rondouillards et pleinement lucides sur leur misérable existence.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; la plupart se réveilleront un jour, rondouillards et pleinement lucides sur leur misérable existence.
11 commentaires:
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à veillir avec style ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine décence ; le reste se réveillera un jour quelconque gros et conscients de leur existence misérable.
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Il me semble que l'utilisation des deux points dans la V.O. est un lapsus ou une erreur car le narrateur n'énonce ni explique rien qui soit en rapport avec ce qu'il vient de dire.
C'est pour cette raison que j'ai choisi un point-virgule.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à veillir [orthographe] avec style [mal dit] ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine décence [j'hésite… Regarde bien les autres trads et sens possibles] ; le reste se réveillera un jour quelconque [ponctuation] gros et conscients [pas génial le reste + pluriel après] de leur existence misérable.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienaisance ; le reste se réveillera un jour quelconque, gros et conscients du fait que leurs existences sont misérables.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienaisance [?????????] ; le reste se réveillera un jour quelconque, gros et conscients du fait que leurs existences sont misérables [cf mon commentaire précédent].
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; le reste se réveillera un jour quelconque, rondelets et pleinement lucides de leur misérable existence.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; le reste se réveillera un jour quelconque, rondelets et pleinement lucides de leur misérable existence.
Je répète : ennuyeux d'associer « le reste » avec du pluriel après… J'aimerais autant qu'on trouve une autre solution.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; la plupart se réveilleront un jour quelconque, rondelets et pleinement lucides de leur misérable existence.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; la plupart se réveilleront un jour quelconque [supprimez], rondelets [« rondouillards » ? Comme vous voulez] et pleinement lucides de [« SUR »] leur misérable existence.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; la plupart se réveilleront un jour, rondouillards et pleinement lucides sur leur misérable existence.
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; la plupart se réveilleront un jour, rondouillards et pleinement lucides sur leur misérable existence.
OK.
Céline ?
Ils sont peu, à peine une poignée, ceux qui réussiront à vieillir avec élégance ; d'autres, une minorité, afficheront une certaine bienséance ; la plupart se réveilleront un jour, rondouillards et pleinement lucides sur leur misérable existence.
OK.
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